dimanche 10 décembre 2017

Trump joue l'apaisement





7 commentaires:

  1. JOHNNY HALLYDAY, ROCKn'ROLL FRANÇAIS et IDÉOLOGIE POLITIQUE du POPULISME
    - populisme et rock à la française
    - le couple Aragon-Elsa, Johnny et le PCF
    - Charlie, Johnny, Finkie, les petits blancs et les "non-souchiens"
    - écrire l'histoire à rebours (Marx) : la fabrique d'un "événement historique" comme conjoncture idéologique et politique
    http://civilisation-change.forumactif.org/t508-johnny-hallyday-rockn-roll-francais-et-ideologie-politique-du-populisme

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    1. C'est ça, les blancs joueront toujours mieux le contrepoint que leurs piètres imitateurs noirs, parce qu'il vient d'eux même si racialement il ne leur appartient pas. Allô ? Ah, on a Jean-Marie sur la deux qui nous dit que c'est justement parce qu'ils n'ont jamais été foutus d'employer comme il convient les instruments qui viennent des blancs (mais — ouf ! — ne leur appartiennent pas racialement), que les noirs ont dû inventer leur musique de n... « jazz » là. Le racisme est sans couleur mais n'a décidément qu'une seule odeur.

      (Ça devient lassant, vous avez des problèmes de RSS ou bien ?)

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  2. écoutez et lisez, au lieu de dénigrer en caricaturant

    Stan Getz et Jimmy Giuffre, Bill Evans et Scott La Faro, avec Gunther Schuller, Jimmy Raney sur la musique de Kurt Weil avec Eric Dolphy, Norvo et Tal Farlow avec Charles Mingus, DAS KAPITAL groupe allemand sur la musique de Hanns Eisler... sont des musiciens blancs qui ont acceptés le concept de 'Great Black Music' et ont été acceptés par les musiciens noirs, comme Webern par Charlie Parker, Charliue HAden (Liberation Music Orchestra) par Ornette Coleman

    le "déni esthétique du jazz" par Adorno, de mon ami Christian Béthune, est sans doute plus approprié pour la critique du rock, d'un point de vue marxiste

    je ne comprends pas pourquoi cela vous échappe, comme ça a échappé à tous les gauchistes "esthétiques" depuis 1968, aussi bien musicalement qu'idéologiquement

    au fond, je ne vois pas très bien ce que vous défendez bec et ongle, et qui dans cette histoire, racialise le plus : par ignorance ou 5ème colonne marxiste de l'idéologie dominante : du capital !

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    1. Je me contente de vous donner la version repeinte en blanc de ce qu'on peut tranquillement écrire sur votre forum sans que personne ne s'en émeuve, puisqu'il n'y a qu'ainsi que vous imprimez (quand on trouve dans le PIR une source potable, ce n'est guère étonnant).

      Je me fous bien de savoir qui a adoubé qui au nom de quoi, tout cela est juste affligeant. Miles Davis ne joue pas plus la musique des noirs (cf. sa réponse pleine de bon sens à ceux qui méprisaient son Concerto de Aranjuez) que Léonard Cohen la musique des juifs. Vous usez d'une catégorie qui n'a aucune pertinence ni théorique ni pratique, quelques soient les distinctions byzantines que vous opérez pour dire sans le dire que la couleur fait le copieur.

      La gauche, hélas, n'a pas besoin d'une 5ème colonne pour se démonter. Elle fait ça très bien toute seule.

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  3. vous vous contentez surtout de ne pas savoir lire. Ne me gênent pas les désaccords même rédhibitoires, mais sur la base de ce qui est écrit bien compris, condition d'un débat dont vous ne voulez pas. Votre lecture, et votre écoute du jazz et de ceux qui ont fait son histoire, dont vous ne connaissez manifestement rien, n'ont aucun intérêt. Mais puisque tel est votre choix...

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    1. Comme avec Anne Archet, en somme. Vous faites vos petites ordures, et si on vous dit que ça pue c'est juste qu'on fait exprès de rien comprendre à la propreté, contrairement à vous qui êtes incollable sur l'histoire du papier hygiénique.

      Je vous explique, je n'ai absolument pas besoin de connaître quoi que ce soit de la musique baroque ou du XVIIe siècle en général pour comprendre que déterminer à quelles conditions et dans quelle mesure Yo-Yo Ma est légitime à jouer du Bach est une question à la con.

      Ce petit jeu où chacun ferait prospérer son petit capital historique en reconnaissant ou en déniant à tel ou tel le droit de s'en réclamer est une saloperie qui participe de la production des identités. Donc, oui, si la condition du « débat » est de reconnaître que chacun est l'héritier de son histoire (blanche, noire, rouge, de France ou de Trifouillou-en-Bretagne), ça ne m'intéresse pas, ça pue.

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