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mardi 28 juin 2022
Art contemporain (comme à la foire)
Du coup, je reprendrais bien une tranche de
Art martial du futur,
Bonne nouvelle,
Expositions à commissaires,
L'économie,
Larbins du Pouvoir
vendredi 11 septembre 2020
Culture

«Une jeune femme a adressé une lettre ouverte au musée d'Orsay dans laquelle elle explique qu'on lui a refusé l'entrée, mardi après-midi, à cause de sa robe. Le motif avancé par les agents du musée parisien ? Un décolleté trop plongeant. Selon son témoignage, un agent de sécurité lui explique que "les règles sont les règles"».
(La Dépêche, 10 septembre 2020 après leur origine du monde)
Du coup, je reprendrais bien une tranche de
Ajournés de la femme,
Curetons,
Expositions à commissaires,
Fascisme généralisé
jeudi 7 février 2019
Street Art

Ci-dessus : La bagnole à la Préfète,
installation éphémère (peinture sur métal et textures mixtes),
auteur anonyme, France, 2019.
Du coup, je reprendrais bien une tranche de
Expositions à commissaires
mercredi 19 décembre 2018
Entre deux samedis sur les Champs-Élysées...
Première rétrospective ici depuis quarante piges.
Du 11 décembre 2018 au 17 mars 2019,
au Petit-Palais de Paris.
Du coup, je reprendrais bien une tranche de
Décadence symboliste,
Expositions à commissaires
vendredi 20 avril 2018
Les âmes sauvages

Du coup, je reprendrais bien une tranche de
Décadence symboliste,
Expositions à commissaires
samedi 7 avril 2018
Kupka, enfin !
On en sera.
Et, bientôt, on en reparle.
Du coup, je reprendrais bien une tranche de
Bonne nouvelle,
Décadence symboliste,
Expositions à commissaires
dimanche 25 février 2018
Bananas

(Thomas Baumgärtel, Turkish Dictator)
« Habe mich gerade von meiner Karlsruher Galerie getrennt, nachdem ich heute über Twitter erfahren musste, dass er - ohne es mit mir abzusprechen - mein Werk Türkischer Diktator art KARLSRUHE 2018 abgehängt hat. »
« Je viens de me séparer de ma galerie à Karlsruhe après avoir appris aujourd'hui via Twitter qu'elle a décroché sans m'en avoir parlé mon oeuvre Dictateur turc. »
(Thomas Baumgärtel, le 18 février 2018, suite à la censure de son travail intervenue lors de la Foire Artistique de Karlsruhe).
Du coup, je reprendrais bien une tranche de
Expositions à commissaires,
Fascisme généralisé
lundi 12 février 2018
Médiations

L'homme au cocktail molotov, Nicaragua, 16 juillet 1979.
« Cette rétrospective consacrée à la photographe américaine Susan Meiselas (1948, Baltimore) réunit une sélection d’œuvres des années 1970 à nos jours. Membre de Magnum Photos depuis 1976, Susan Meiselas questionne la pratique documentaire. Elle s’est fait connaître par ses images sur les zones de conflit en Amérique centrale dans les années 1970 et 1980, notamment grâce à la force de ses photographies couleur. Couvrant de nombreux sujets et pays, de la guerre aux questions des droits de l’homme, de l’identité culturelle à l’industrie du sexe, elle utilise la photographie, le film, la vidéo et parfois des matériaux d’archives dans une volonté constante de construire des récits auxquels elle associe ses sujets en tant qu’acteurs. L'exposition, la plus complète qui lui ait jamais été consacrée en France, met en évidence cette démarche unique de Susan Meiselas qui traverse les conflits dans le temps avec une approche personnelle autant que géopolitique et questionne le statut des images par rapport au contexte dans lequel elles sont perçues. Pour le Jeu de Paume, elle a créé une nouvelle œuvre, commencée en 2015 et inspirée par son engagement auprès de Multistory, association basée au Royaume-Uni. Cette dernière série réalisée dans un foyer pour femmes, A Room of Their Own, porte à nouveau sur le thème de la violence domestique, cette fois en Angleterre. L’installation comprend cinq récits en vidéo qui présentent les photographies de l’artiste, des témoignages de première main, des collages et des dessins. »

Dee et Lisa, Mott Street, Little Italy, New York, 1976.
Susan Meiselas, Médiations
Musée du Jeu de Paume, Paris
du 06 février au 20 mai 2018
Du coup, je reprendrais bien une tranche de
Expositions à commissaires
vendredi 9 février 2018
Urban Riders, par Mohamed Bourouissa
« L'exposition Urban Riders s’articule autour du film Horse Day réalisé à Philadelphie, dans le quartier défavorisé de Strawberry Mansion, au Nord de la ville, et dont la réalisation a marqué une étape décisive dans son évolution. Durant huit mois, le temps d’une résidence, Mohamed Bourouissa s’est intéressé aux écuries associatives de « Fletcher Street » qu’il a découvertes grâce aux images de Martha Camarillo, une photographe américaine. Territoire de réparation et de cristallisation des imaginaires, fondé par des cavaliers afro-américains, les écuries de « Fletcher Street » accueillent les jeunes adultes du quartier et offrent un refuge aux chevaux abandonnés. Sans pour autant documenter une réalité, l’artiste s’est emparé de l’histoire du lieu, de l’imagerie du cowboy et de la conquête des espaces. Au fil des mois, Mohamed Bourouissa s’est attaché à créer des conditions d’échange et de partage avec la communauté locale. Le film, de facture cinématographique, retrace ce projet. Il rend compte avec force d’une utopie urbaine. Fasciné par l’histoire de la représentation des cowboys noirs, il synthétise des questionnements récurrents : l’appropriation des territoires, le pouvoir, la transgression. Horse Day s'accompagne d'un corpus d’environ quatre-vingt pièces. Un ensemble d’œuvres graphiques traduit la liberté et la richesse du langage plastique de l’artiste. Croquis sur le vif, dessins préparatoires, story-board du film, collages, encres, aquarelles relatent l’origine du projet et son élaboration. En regard de cet ensemble, sont présentés des portraits de cavaliers et les costumes des chevaux. Prolongeant la métaphore du «tuning», des éléments de carrosseries sont agencés et deviennent le support des images du film. »
Du 26 janvier au 22 avril 2018
Musée d'Art moderne de la Ville de Paris
Du coup, je reprendrais bien une tranche de
Expositions à commissaires
dimanche 7 janvier 2018
Dernier jour
Du coup, je reprendrais bien une tranche de
Décadence symboliste,
Expositions à commissaires
jeudi 21 décembre 2017
mercredi 6 décembre 2017
jeudi 19 octobre 2017
samedi 19 août 2017
Whitney Orville

Du coup, je reprendrais bien une tranche de
Choses vues et témoignages bouleversants,
Expositions à commissaires
jeudi 13 avril 2017
Sales Français !

Il avait sans doute raison, au fond, ce protozoaire d'Al-Adnani (que la miséricorde d'Allah soit sur lui). À sa façon inimitable, certes, propre aux tiers-mondistes et anti-impérialistes de toutes époques. Mais les voies du Saigneur sont impénétrables, n'est-il pas ? Pour achever de s'en convaincre - si nécessaire - il y aurait bien cette exposition, là : chez la canaille branchée de service, et qui devrait lourdement exciter la multitude de nos incapables habituels, depuis le noyau dur des éditions-de-la-fibrouque jusqu'aux citoyens d'ouverture décroissants. Autant dire toute cette constellation de Gauche de la Gauche cultivée cherchant frénétiquement une forme d'esprit en France depuis ses premières garnitures post-modernes. Pour tous les autres, toutes ces myriades d'innocents qui l'auraient déjà trouvé sans vraiment y penser, l'esprit en question (français ou pas, d'ailleurs), ma foi, ce sera business as usual. C'est à dire, de préférence : partout ailleurs qu'à la Maison dite rouge, Paris 12ème.
Du coup, je reprendrais bien une tranche de
Expositions à commissaires
mercredi 7 décembre 2016
lundi 3 octobre 2016
Sponsorisé par le Crédit Municipal (tu m'étonnes )
Du coup, je reprendrais bien une tranche de
Décadence symboliste,
Expositions à commissaires
samedi 23 avril 2016
Carlos Saura à Bayonne

Oubliez los Chunguitos cinq petites minutes, voulez-vous. Assez de drogue, de délinquance, d'énergie négative en tout genre. Carlos Saura, que diable ! ça n'est pas que Vivre vite ! et sa fameuse scène de la valise (dame la maleta !) que vous vous serez peut-être échinés à reproduire, durant vos jeunes années, façon Travis Bickle devant la glace. Bref. Au début des années mil neuf cent cinquante, le jeune Saura, déjà photographe professionnel, travaille la prise de vue sur du matériel optique dont il s'apercevra, un peu plus tard, qu'il était porteur de certain défaut de réglage donnant un tour précieux, unique, à ses premiers clichés. Étouffant dans le Madrid franquiste de l'immédiat après-guerre civile, et sur le conseil de bonnes âmes, il décide de se mettre au vert et sillonne le reste du pays. Il en ramène une suite de reportages que le DIDAM de Bayonne célèbre ces jours-ci. Le reste, Carlos le raconte lui-même ci-dessous. Pour les chanceux qui traîneraient en Euskadi, c'est jusqu'à demain.

***
« Le plus intéressant concernant ces photographies, c'est peut-être la valeur qu'elles ont prise avec le temps. Dans les années cinquante, nous étions peu nombreux à nous intéresser d'un point de vue photographique à un pays gouverné d'une main de fer par le général Franco avec la collaboration d'une église inquisitrice et d'une police violente qui décidait du caractère moral ou immoral des coutumes. L'Espagne était alors un pays avec des réminiscences médiévales qui connaissait la famine et traversait des temps obscurs. Les photographies de cette époque diffusées aujourd'hui - certaines présentant des défauts évidents en termes d'exposition et de contraste - sont le témoignage, mon témoignage, de cette Espagne des années cinquante, période durant laquelle je prétendis faire un livre sur le sujet. »

Du coup, je reprendrais bien une tranche de
Expositions à commissaires
C'est sûr que quand tu baignes dans le flouze, ça aide...

Exposition « Les Hugo, une famille d’artistes »
Du 14 avril 2016 au 18 septembre 2016
Maison de Victor Hugo - Paris, Place des Vosges
Du coup, je reprendrais bien une tranche de
Expositions à commissaires
mardi 29 mars 2016
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