dimanche 30 septembre 2018

Hustler white


Check your bat-privilege !


samedi 29 septembre 2018

C'est samedi, wesh

Dispositif intellectuel structurellement offensif universaliste-blanc à dominante patriarcale hétérosexiste cis-genre (coloniale négrophobe)


Services express de déconstruction intersectionnelle 24 h/24 : 
contacter les universités de l'État français
ou, à défaut, tout autre organe idéologique de la gauche molle ou dure 
(PCF, LFI, Bourses du Travail, Maisons d'éditions libertaires et ultra-gauche, etc)

lundi 24 septembre 2018

À nos amis


mercredi 19 septembre 2018

Modèle social (et surtout la santé)


Régime de crise

Charb


Aux nains structuralistes-transcendantaux


« Vous ne pouvez pas me critiquer comme vous critiquez des gens du XVIIIème siècle et qui ignoreraient tout de la question. Ce que vous nous avez dit sur la détermination, nous le savons depuis longtemps. Le véritable problème, pour nous, c'est de définir à quelles conditions il y a universalité. Puisqu'il n'y a pas de nature humaine, comment conserver, dans une histoire qui change constamment, assez de principes universels pour pouvoir interpréter, par exemple, le phénomène de Spartacus, ce qui suppose un minimum de compréhension de l'époque ? »

(Jean-Paul Sartre, L'existentialisme est un humanisme)

dimanche 16 septembre 2018

Cosmopolites et fiers

vendredi 14 septembre 2018

Poisson soluble

Worldwide


jeudi 13 septembre 2018

Monde d'avant


Le monde d'avant, 
quoi qu'il advienne, nous reviendra.
La puissance est dans nos mains, 
alors écoute ce refrain.

Y a pas que Wim Wenders dans la vie !


Les ailes du désir


mercredi 12 septembre 2018

Le saviez-vous ?

Le nombre de muscles dans le corps humain est compris entre 640 et 850. Votre langue est un muscle. Il faut environ 72 muscles pour parler, 17 muscles pour sourire et 43 pour manifester notre mécontentement.


mardi 11 septembre 2018

מצפן (La boussole)


« Pour les survivants que nous sommes à plus d'un titre, y  compris en tant que survivants du "trotskysme", il nous faut repenser la situation à l'aide de la boussole qui nous reste : le marxisme. »

(Pierre Naville, Grâces leur soient rendues)

Spéciale dédicace au (camarade) Vilbidon


« Une serrure, y faut que ça mouille. 
C'est comme tous les orifices. »

(Gérard Depardieu, Tenue de soirée, 1986)

samedi 8 septembre 2018

vendredi 7 septembre 2018

Sans sommation

244 pages, vingt boules.

« Miguel Abensour aura été le passeur qui a permis la lecture en France des livres majeurs de Adorno et Horkheimer. Il a fondé sa collection Critique de la politique, en 1974, au retour d’un voyage aux États-Unis lors duquel il a découvert, dans un ébranlement complet, les livres de la première École de Francfort. Son enthousiasme pour la tâche philosophique théorico-pratique de ce qu’il préférait nommer le "cercle" plutôt que l’"École" de Francfort n’a guère été partagé par les philosophes français qui étaient ses contemporains. À cette solitude philosophique envisagée d’emblée comme un défi, s’est ajouté l’isolement dans lequel a été maintenue sa lecture du jeune Marx. Sa complicité profonde avec l’interprétation du marxisme utopique par Maximilien Rubel et Louis Janover a creusé souterrainement et de manière inexorable les sillons d’une nouvelle solitude dans une époque dévouée à la lecture althussérienne de Marx et dominée par la relégation du jeune Marx du côté des naïvetés présumées de l’utopie et de l’humanisme. »

(extrait de la présentation de l'éditeur)

Signalons, tant qu'on y est, le très intéressant volume n°1 de Prismes, Théorie critique, paru début 2018 aux éditions Sens et Tonka. Abensour en assuma la direction puis mourut, ce qui fait qu'on ne reprit pas des nouilles, à l'époque. Un de ses (derniers ?) articles y figure, passionnant et, comme toujours, trop court, intitulé : La radicalité contre le progressisme. Rousseau Adorno

mercredi 5 septembre 2018

La meilleure nouvelle de la semaine


Il peut parfois être dangereux d'occuper militairement un territoire préalablement envahi et meurtri à coups de bombes, de massacres de masse, de viols, d'exactions barbares en tout genre. Au début, certes, dans l'euphorie de la victoire, on fait le malin. On parade, on pille, on instaure la charia à usage de filles indigènes ayant trop longtemps jusqu'ici vécu comme des putes. On expulse, aussi, on lynche, on épure ethniquement, et tout semble aller comme sur des roulettes. On dirait le Sud, comme dirait l'autre. On pourrait vivre comme ça plus d'un million d'années, et toujours en été. Sauf que non, en fait. L'automne vient immanquablement - c'est moche - précédant le grand hiver transcendantal de l'oppression. Et bientôt, insensiblement, les choses se gâtent. Dieu-tout-puissant étant parfois impénétrable à défaut d'être incontestable, il lui prend souvent de rappeler à lui, de manière précoce, certains de ses serviteurs les plus zélés, à qui la veille encore, insolemment, tout réussissait et souriait. M. Ahmad Samir Brier (voir la photo ci-dessus) était l'un de ceux-là. Il était commandant de la soi-disant 23ème division, composante djihadiste (parmi tant d'autres) de la soi-disant Armée Syrienne Libre, collectif de supplétifs islamistes armés, financés, soutenus à bout de bras par l'islamiste modéré Erdogan. M. Ahmad Samir Brier s'est fait réduire en poudre, lundi 3 septembre en fin de soirée, avec 15 de ses hommes, par des partisans kurdes des YPG qui menaient une opération autour du village de Taranda, région d'Afrin. Le même jour, lesdits YPG s'en sont également pris, avec un certain succès (voir la vidéo ci-dessous) à une base du Front du Levant, autre organisation salafiste occupant le territoire kurde, dans le secteur de Khalta. Les estimations des pertes turques et pro-turques varient, là, entre quatre et six combattants. Pour le seul mois d'août, les troupes occupantes auraient ainsi perdu environ 60 de leurs membres, à la faveur de 18 opérations, selon les YPG. À en croire le (plus crédible) Observatoire Syrien des Droits de l'Homme, ce sont 112 mercenaires islamistes et soldats turcs qui ont été tués à Afrin depuis leur victoire de Mars. Il y a décidément des victoires qui sentent le sapin. Nous souhaitons à M. Ahmad Samir Brier une joyeuse entrée en Paradis. Il la mérite, comme tous ceux qui lui ressemblent.

mardi 4 septembre 2018

Tic tac


lundi 3 septembre 2018

Comme un lundi matin

(Source : ministère de l'éducation nationale)

Circuit de la récompense


« Kant n'a rien eu qui puisse servir de détermination pour le devoir (car la question abstraite est : qu'est-ce qui est devoir pour la volonté libre), sinon la forme de l'identité, du ne-pas-se-contredire : ce qui est posé par l'entendement abstrait. La défense de la patrie, la félicité d'autrui sont des devoirs non pas en raison de leur contenu, mais parce qu'ils sont des devoirs, de même que chez les stoïciens le pensé est vrai parce que et pour autant qu'il est pensé. La loi de la moralité est la bienfaisance ("Donnez vos biens aux pauvres") ; si tous font don de ce qu'ils ont, la bienfaisance est supprimée. Avec l'identité on n'avance pas d'un pas. Dieu est Dieu, tout contenu mis dans cette forme est sans se contredire. Mais cela revient à ne pas l'y introduire du tout ; soit l'exemple de la propriété : relativement à mon action elle doit être respectée ; mais elle peut aussi faire entièrement défaut (aucune propriété), la détermination peut faire entièrement défaut. À l'égard de la propriété, la loi est : la propriété doit être respectée ; car le contraire ne peut être loi universelle. Cela est exact. Mais la propriété est présupposée ; si elle n'existe pas, elle n'est pas respectée, si elle existe, elle l'est. Si je ne présuppose aucune propriété, il n'y a dans le vol aucune contradiction ; c'est une détermination entièrement formelle. Tel est le défaut du principe kantiano-fichtéen : il est simplement formel. Le froid devoir est le dernier morceau resté sur l'estomac, la révélation donnée à la raison. »

(G.-W.-F Hegel, Leçons sur l'histoire de la philosophie

Ha ha ha


samedi 1 septembre 2018