« J'en suis arrivé à penser qu’en raison d’un certain nombre de circonstances historiques, être bon n’est plus une option en Israël. Tout est sali, pollué, contaminé. Et je ne dis pas ça parce que je me sens supérieur aux autres. À certains égards, je pense que c’est une expérience universelle. On ne peut plus regarder le monde aujourd’hui sans être choqué trois fois par jour. Et, par faiblesse ou lâcheté, on y consent. « Oui », c’est le mot du présent. Oui, j’y vais. Oui, j’accepte. Oui, j’en fais partie ».
(Nadav Lapid, Le Monde, 20 septembre 2025)

Big Brother veille sur l'armée de Tsahal et permet à ce Oui; misérable appendice du spectacle intégré de ce hausser à son insignifiance d'homme.
RépondreSupprimerLe même chez Blast (6e et 7e minutes ; 9e ; 15e) : « Soit on croit à la dichotomie des bourreaux et des victimes (...), soit on croit à l'innocence des humains (...) à la beauté (...) ; l'impression de faire partie d'une âme collective malade, y compris la mienne ; on a grandi avec l'idée que les soldats c'est nous, que les soldats sont beaux ».
RépondreSupprimerNe l'absout pas du fait d'être un persécuteur.
RépondreSupprimerPauvre mec, ce type est complètement paumé.
RépondreSupprimerUn cinéaste de son temps tel qu'il se déclare à lui même, une petite ordure semblable à ses pères.
RépondreSupprimerLes plus déterminés branleurs paraissent les plus comblés par ces mesures de prudence, comme si l'obscurité des caves décuplait leur passion pour la paluche, au point de la rendre irrépressible.
RépondreSupprimerCet homme n'est que le prolongement publicitaire de ce qu'il dénonce, soit l'être de ce vide, de ce néant qui le traduit et fait de lui un barbare.
RépondreSupprimer"Oui", mais non. https://orientxxi.info/lu-vu-entendu/oui-mais-non-nadav-lapid-oublie-gaza-dans-les-brumes,8573
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