Certes. On se rappelle de l'individu isolé, dans une foule sous le troisième Reich, qui refusa de tendre le bras. Mais on se souvient surtout que les Allemands furent coupables, sur ce coup-là. Et les Nazis de l'époque ne sont RIEN, en terme de menace barbare, à côté des totalitarismes russe et chinois actuels.
Hélas plus près de 75, d'après Lev Goudkov : "Or l’identité collective n’a aucune autre base [que l'État] — une société civile, par exemple — sur laquelle se fonder. (...) je dirais que nous assistons à une réanimation et à une tentative de restauration du système totalitaire et de la conscience totalitaire [qui fonctionne plutôt bien]."
La situation est dynamique par principe. Mais bon, il est certain que La Boétie a ici des billes, encore et toujours. Le plus révoltant, pour nous, dans toute cette saloperie, cela aura été l'attitude de certains de nos "proches" qui, eux, connaissaient La Boétie, et prétendaient le suivre. Renvoyer dos-à-dos l'aveuglement totalitaire et l'aliénation bourgeoise-libérale aura été leur croix, et la nôtre. Cela ne sera pas pardonné de sitôt, quand les Poutinistes auront enfin mordu la poussière (ce qui est en train de se profiler, du côté de Kherson et ailleurs...).
Ce qui compte, bon Moine Noir, c'est ce 1% qui n'accepte pas.
RépondreSupprimerCertes. On se rappelle de l'individu isolé, dans une foule sous le troisième Reich, qui refusa de tendre le bras. Mais on se souvient surtout que les Allemands furent coupables, sur ce coup-là. Et les Nazis de l'époque ne sont RIEN, en terme de menace barbare, à côté des totalitarismes russe et chinois actuels.
RépondreSupprimerHélas plus près de 75, d'après Lev Goudkov : "Or l’identité collective n’a aucune autre base [que l'État] — une société civile, par exemple — sur laquelle se fonder. (...) je dirais que nous assistons à une réanimation et à une tentative de restauration du système totalitaire et de la conscience totalitaire [qui fonctionne plutôt bien]."
RépondreSupprimerLa situation est dynamique par principe. Mais bon, il est certain que La Boétie a ici des billes, encore et toujours. Le plus révoltant, pour nous, dans toute cette saloperie, cela aura été l'attitude de certains de nos "proches" qui, eux, connaissaient La Boétie, et prétendaient le suivre. Renvoyer dos-à-dos l'aveuglement totalitaire et l'aliénation bourgeoise-libérale aura été leur croix, et la nôtre. Cela ne sera pas pardonné de sitôt, quand les Poutinistes auront enfin mordu la poussière (ce qui est en train de se profiler, du côté de Kherson et ailleurs...).
SupprimerEt pourtant Neue Rheiniche Zeitung, Novaïa Gazeta, c'est proche.
SupprimerPas mal.
SupprimerMais non.