Monstration pure découplée par principe de toute émission éventuelle d'image logique simplement extérieurement (et incompréhensiblement) associable à un fait, au terme d'une rigoureuse clarification des énoncés, très avantageusement substituable à un nuisible dogmatisme philosophique d'ancien régime, à dépasser (date inconnue).
«La langue déguise la pensée. Et de telle manière que l'on ne peut, d'après la forme extérieure du vêtement, découvrir la forme de la pensée qu'il habille ; car la forme extérieure du vêtement est modelée à de tout autres fins qu'à celle de faire connaître la forme du corps.»
(Ludwig Wittgenstein, Tractatus logico-philosophicus)
Chère Sofia, l'habit fait tout de même la moinesse. Très élégante, je ne vous prie pas de me croire. Enfin faut voir.
RépondreSupprimerHonte à moi. J'avais pas reconnu Sofia, persuadé que j'étais que la photo sortait de "Riz amer" (souvenirs).
SupprimerPlanter et replanter avec une broche sacome, quand même... (ça vous a pas paru bizarre ?)
SupprimerC'est vrai. Mais je l'ai vu y'a vraiment longtemps et tout ne se passe pas dans la rizière. J'ai surtout retenu cette réplique "En Amérique, tout est électrique. Même les chaises."
SupprimerLe jeu de langage suivant est dédié à John Langshaw Austin et à Marguerite Duras. Dira-t-on que cet énoncé est performatif ? :
RépondreSupprimer— "Dis “camion”."
— "Camion".
— "Pouêt-pouêt" dit-il (ou elle) en lui pinçant un nichon (ou deux).
— Paf ! Il ou elle se prit une baffe.