Le Grand débat (suite)

FrançaisEs !

« On ne peut pas continuer avec un capitalisme qui accroît les inégalités » déclarait le 21 janvier dernier, et à juste titre, M. Bruno Lemaire, ministre actuel de l'Économie. Des propos qui ne sauraient rester lettre morte. Il en va de l'avenir de nos enfants et des générations futures qui viendront plus tard pour vivre après nous quand nous ne serons plus là.

C'est pourquoi, dans le cadre du Grand débat National ouvert par le Président de la République dans une perspective d'ouverture et de dialogue afin d'aller ensemble vers demain pour trouver des solutions concrètes qui ne soient pas uniquement que basées sur des déclarations d'intention dénuées de fondement réel, nous vous proposons aujourd'hui (par retour mail de ce formulaire) de répondre pour information à la question suivante : 

Plutôt que de continuer avec un capitalisme qui accroît les inégalités, souhaiteriez-vous davantage (à titre personnel) continuer avec un capitalisme :

a) qui éborgnera préventivement tout manifestant hostile (au capitalisme qui accroît les inégalités) au moyen de Lanceurs de Balle de Défense à haute vélocité et de conception suisse étant donné que les ennemis de notre république trouveront toujours les défenseurs de cette dernière sur leur chemin, ce qui paraît logique ?

b) qui, en lieu et place d'un capitalisme accroissant les inégalités, prolongera plutôt de manière indéfinie le salariat obligatoire pour les vieillards, dans le cadre d'une promotion éthique des valeurs de dignité et de responsabilité citoyennes éco-solidaires ?

c) qui mettra en rapport synergétique employeurs et employés adéquats, dès que l'échographie prénatale socio-biométrique bénéficiera, à l'échelle du territoire et au titre de cette technique de pointe qu'elle incarne par excellence, de ce partenariat optimal public-privé lui faisant encore cruellement défaut ? 

d) qui, loin d'accroître les inégalités à la manière de ce capitalisme de l'ancien monde qu'il nous faut dépasser très vite en accélérant, finira plutôt de détruire à très court terme l'air que nous respirons, la terre que nous buvons ou l'eau dont nous sommes composés, afin de préserver l'emploi ?

Conformément à l'art. 132-10 alinéa 8 de la CNIL, vos réponses sont évidemment anonymisées (nous vous remercierons, d'ailleurs, plus longuement de celles-ci par courrier postal individualisé). Nous avons tous intérêt au dialogue démocratique et à l'échange pacifié. Merci de votre participation solidaire. Et encore bonne nuit à toute la famille.