Livrer un gauchiste en cavale à un État proto-fasciste sans que ce dernier lui ait rien demandé, fallait le faire. Moralès l'a fait. Chapeau bas.
Compris, maintenant, les résidus modernes de tiers-mondistes indigénistes décoloniaux ? Qu'il pilote un État bolivarien ou juste une start-up éthique orientée, à son échelle, vers la transition équitable éco-socialiste, un bon altermondialiste est un altermondialiste mort. Ou à tout le moins, qui ferme sa gueule.
Et,tant qu'on y est, où sont passés les copains, copines polardeux de Battisti par chez nous ?
RépondreSupprimerOn se cache ? Même pas foutus d'une protestation de principe ?