Above : a shitty Member of Parliament from the Macron mob forced on TV to admit, in front of two furious "Gilets Jaunes" (french underdog being fiercely challenging everywhere the Power these days) that she doesn't even know what exactly is the amount of the minimum wage in France. She doesn't know it and that's precisely why she supports the Macron plans (that started everything three weeks ago) to raise oil taxes on the poorest people of the country. And you still wonder why the whole bourgeois Paris just burnt away the other day ? Ça ira, nom de Dieu...
Mort à l'argent ! N'empêche, je ne pourrais même pas donner la valeur mensuelle de la carte Découverte, désormais 5 zones, (je crois) que j'ai pourtant payée. C'est dégueulasse la torture, ce serait comme demander à Jean-Paul Huchon ou à Giscard le prix du ticket de métro.
RépondreSupprimerLe Moine jaune est de mauvaise foi !
Peut-être qu'on se souvient des montants à la mesure de la violence qu'ils nous font...
SupprimerVous avez raison Raoul. Je ferais moins le malin si mon ASS à moi d'assisté volontaire ne m'avait pas été rendue, d'ailleurs en ce cas je n'aurais pas acheté ladite carte.
SupprimerLa fixette sur les prix est ancienne. J'ai connu, dans un boulot de merde, un fils de chiffonnier qui recopiait ses dépenses de supermarché dans un petit carnet et qui rêvait, tout récemment marié, de s'acheter une maison. C'était il y a lurette, avant que les prix ne changent si fréquemment, bien qu'après la fixité du prix de la baguette et du ticket de métro, lequel est appelé à disparaître selon l'agenda du pouvoir "mobile" qui rêve de changer les smartphones en porte-monnaie.
Dans la vidéo, il est bien sympa le gars qui se barre. Mais il ne s'insurge que de l'incompétence de la sous-ministresse. Si elle avait été compétente, elle lui aurait répondu, smic horaire, smic mensuel, ratio des "charges" qui sont des cotisations, brut ou net, et net de quelles charges, etc. Et la discussion aurait dérivé vers les problématiques des partenaires sociaux, une cuillère en plus dans le salaire net en échange d'une louchée de moins dans l'une et/ou l'autre des deux colonnes de cotiz. Comptabilité... Le mépris de classe de la sous-ministresse aurait été efficace. L'équipe de remplacement y veillera. D'ailleurs, dans l'intermède, les partenaires sociaux se sont déjà convoqués, pour combler le vide.
Je suis bien content que la télé soit contrainte d'exposer ses vases communicants sur les formalités d'exploitation plutôt que, comme cette même télé l'avait cru programmé, sur l'abus des taxes. Il ne s'est pas rien passé en quinze jours, même à la télé.
Mais je suis impatient. Nous n'en sommes pas encore à évoquer l'usage de l'exploitation, la substitution des activités libres au travail (pléonastiquement) aliénant.
Et puis, j'ai pu sortir ma blague faussement sartrienne d'alcoolique buveur de vin rouge en recolorisant (pour rire) le Moine. Cette accélération de l'histoire me détend.
Tout ce qui emmerde le pouvoir est bon à prendre. Ridicule est celui (ou celle, en l'occurrence) qui DOIT confesser son ignorance sectorisée d'affaires relevant DU secteur pourtant zarma incontournable, dont la pseudo-centralité devrait s'imposer à tous, savoir : l'expertise chiffrée technocratique de son néant économiste quotidien. Marx ridiculisait ainsi en d'autres temps : sur leur propre terrain et dans leur propre langue, les propriétaires de la société. Il était plus expert qu'eux et moquait leur nullité en langage nulliste. Ce qui ne l'empêchait pas de cracher, ensuite, sur "toute cette merde d'économie". Il est toujours bon et vengeur d'humilier les experts en absurdité.
SupprimerOn aura quand même appris que donner des coups de pieds à un mec à terre sans casque en manif, c'est d'une « essss'trême violence ». Faut croire que ça marque plus sur le bleu marine. Tous ces tendres petits cœurs de poulets prêts à craquer, on se croirait dans une vidéo de L214.
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