«Or il est vrai qu'après plaintes et pleurs et gémissements angoissés, après tristesses et douleurs, fatigues et pénibles cheminements, la souffrance ouvrit mon esprit incertain, aiguisé comme une pelote, plus que tous les commentaires d'Averroès sur Aristote. »
(François Villon, Testament, édition de Jean Dufournet)
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