samedi 21 novembre 2015

Daesh, lundi matin...

 La rédaction de Lundi-matin au travail (on a beau temps, en plus, t'as vu ?)

Tu veux gerber un bon coup ?
C'est là.
On en parlera pas plus, nous. Autre chose à foutre. Et puis on craindrait d'être grossier, de s'en prendre - de manière extrêmement non-chirurgicale - autant au style littérairement inimitable qu'aux habitudes annexes (habitus) pluri-séculaires de ces gens-là. On risquerait alors par trop de donner dans l'intime et, du coup, dans l'injuste. Un peu à la manière de ces fusilleurs fascistes, au fond, dont ils-et-elles célèbrent, dedans leur texte infâme, la « liberté anti-économique, affranchie de la peur de mourir »...
Qu'ils crèvent, donc, et jusqu'au dernier : jusqu'à ce dernier des derniers formé par eux collectivement, en tant que très-débile et très-prophétophile organisme.
Et que crèvent avec eux TOUS LES CURÉS du monde.
 

8 commentaires:

  1. Merci...
    La lecture, ces temps-ci, de la plupart des déclarations du "camp" anarcho-communiste, dont je suis "sensé" faire partie (con que je suis) me donne nausée sur nausée.
    Alors merci.
    Même pas l'envie de rigoler...
    Blaireau 58

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  2. ça fait un certain temps que lundimatin publie de la merde, en raclant les fonds de la cuvette de la confusion appelliste.
    Ils osent tout, et c'est bien à ça qu'on les reconnait. Publier, par exemple, régulièrement et sans rougir les "réflexions" du crétin Hazan a déjà tendance à vraiment m'impressionner. (ce cerveau de crevette qui introduisait son commentaire sur le rassemblement du 11 janvier :"La foule de dimanche à République aura donc été aussi nombreuse que celle du 28 avril 1944, qui acclamait à l’Hôtel de Ville le maréchal Pétain venu assister au service funèbre de victimes des bombardements." C'est le même têtard qui appelait récemment au "boycott universitaire et culturel de l'Etat d'Israël". Sans parler de sa grande oeuvre, summum de la nullité gauchiste, à savoir ses mesures révolutionnaires...). Avec cette engeance, je n'ai plus aucune envie d'être subtil. Ce texte fumeux, méphitique fait tomber ses auteurs au fond de la cuvette. Tirons la chasse.

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  3. Un texte, un de plus…, si je peux me permettre, en sur-plomb.
    Les voilà donc, ceux qui allaient secouer ce monde dégueulasse, les preux nietzschéens, les chevaliers du négatif, les "affranchis"(sic)- Hey ! Goodfellas ! c'est un éloge, par la bande, de la bande ! - prêts pour la (Georges) Bataille. Et nous qui buvions notre bière -même débilitante- tranquille au bar (une kro de merde, v'là pour le chic parisien)...
    OK, ne nous étonnons pas que notre dégoût, notre colère devant tant d'horreurs rendent notre mode de vie "haïssable" (cf fin du paragraphe 6).
    Eschatologie de bazar, millénarisme de chiotte. Leur Pascal pourra bien coudre ses Pensées sur la peau des types du Bataclan.
    Ouais, Viva la Muerte.
    Et "l'hypothèse communiste" (pour employer leur jargon) surgit, comme plaquée, au dernier moment. Mais avec qui, et pour qui ? après de tels Décombres. Allons causer communisme avec ce Portugais camionneur de 62 berges explosé au Stade de France ou avec le re-noi qui bossait pour Fedex depuis des lustres, buté en terrasse. Mais ça, c'est pour rentré dans leur jeu mesquin. Pas la question (même si on a toujours bien des réticences, par là-bas, à causer lutte des classes) .
    Comme le dit Prh, chassons ces chassieux.

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  4. Ajoutons à cette crapulerie générale, la lâcheté spécifique de leurs précautions liminaires (allez-y voir, c'est ailleurs sur le même site) : " Nous aussi, COMME TOUT LE MONDE, vendredi 13 nous avons craint pour des proches, passé des coups de téléphone, etc ". Autrement dit : " nous aussi, étions susceptibles de fréquenter ces décadents méritant de crever pour n'avoir comme seuls horizons existentiels misérables que la bibine en terrasse ou le rock n roll...". Faudrait savoir, poto ! Bref, comment vouloir gagner sur les deux tableaux. D'ailleurs, craignant sans doute la fureur de quelques individus étranges, suite à la publication de cette très objective saloperie, nos chevaliers du nihil s'équipent fissa d'autres précautions périphériques : " certains de nos amis (les fameux " à nos amis...") s'énerveront peut-être de nos remarques, etc "... Tu m'étonnes. Nous pensons juste qu'il y a là-dedans la volonté toute pragmatique de jouer, une fois de plus, les Monsieur-Plus de la radicalité. Si l'esstrème-gôche, avec le NPA et toussa, dit que les massacrés de vendredi, eh ben c'est la faute à l'impérialisme, etc, alors et ben eux y diront que les massacrés, et ben, en vrai, y méritaient de l'être à cause de leur médiocrité d'enchaînés salariés soumis au spectacle. Car ça tient à ce genre de détail, la gloire théorique dans ce milieu-là. Ce sont les mêmes qui débarquaient sur les plages aux mois de Juillet-Août, voilà quelque temps, avec des banderoles guillerettes proclamant, à l'adresse du prolo ensablé, sous le soleil exactement : " Vous allez mourir, et toutes vos misérables vacances n'y changeront rien ".

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    1. Ouais, ou qui expliquaient au populo qu'il avait été bien couillon de bosser toute sa vie mais qu'il avait encore une chance de se révolter avant de crever en suivant cette avant-garde puérile (un fameux tract de Tiqqun pendant le mouvement des retraites. Ça remonte mais rien n'a changé, preuve que ça tourne un peu en rond dans les caboches).

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  5. Bêtise militante et analyses pseudo-sociologiques (déja que la sociologie en vrai..) :

    https://lundi.am/pourunjihad2proximite

    Rien ne les arrête.

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  6. Ces gens sont hypnotisés par le djihad comme, en son temps, Bataille - leur maître acéphale - était fasciné par le nazisme.
    La boucle est bouclée. Qu'ils règlent leurs problèmes. Ou pas.
    Loin de nous, en tout cas.
    Ils puent.

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  7. Mais c'est quoi la "forme-de-vie" qui a écrit ce texte de groupie en chaleur ( La guerre véritable) ? ça serait-y pas les chialeuses mediatiques de la guerre civile assistée par papa-maman ? Toujours à s'émoustiller sur des canons d'acier dressés vers le ciel, hein ? Chochottes municipales.

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