Il est vrai qu'à part le jeu de mot lamentable, on a toujours été fasciné par la propension des leaders de guérillas marxiste léniniste à envoyer les autres au peloton et à n'avoir aucun savoir-mourir en cas de capture. C'est peut-être naïf mais ça rend nostalgique de la révolution mexicaine.
Il n'est certes pas naïf (non plus) de rappeler que la Révolution mexicaine se faisait au nom de la liberté, ce qui change tout. La Terre sans la liberté, ça sent toujours le caveau de famille ou la fosse commune.
Président Gonzalo,
RépondreSupprimerT'es vraiment le plus beau.
Abimael Guzman,
Nous sommes tous tes fans.
(Air andin)
El condor paso.
SupprimerOh non, Condor, pas ça !
RépondreSupprimerGeorge Weaver, sors de ce corps !
SupprimerIl est vrai qu'à part le jeu de mot lamentable, on a toujours été fasciné par la propension des leaders de guérillas marxiste léniniste à envoyer les autres au peloton et à n'avoir aucun savoir-mourir en cas de capture. C'est peut-être naïf mais ça rend nostalgique de la révolution mexicaine.
RépondreSupprimerIl n'est certes pas naïf (non plus) de rappeler que la Révolution mexicaine se faisait au nom de la liberté, ce qui change tout. La Terre sans la liberté, ça sent toujours le caveau de famille ou la fosse commune.
SupprimerLa liquidation des koulaks, en somme.
RépondreSupprimer