vendredi 12 mars 2021

Promo de Ouf

 Jusqu'au 15 avril 2021 :

Une dose d'Astra Zeneca ©️

16 commentaires:

  1. Alternative DIY ! Soyons positifs, résilions-nous !

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  2. Bonjour
    Pouvez vous apporter des données chiffrées et vérifiables sur la mortalité éventuellement attribuable au vaccin Astra Zeneca?

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    1. Non. C'est un copain qui bosse chez Pfizer qui nous a dit ça.
      Mais on a confiance en lui : comme dans tout ce que nous dit le gouvernement, d'ailleurs.

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    2. Ca se confirme (enfin : du point de vue officiel, je veux dire :)

      https://www.europe1.fr/sante/covid-19-un-responsable-de-lema-confirme-un-lien-entre-astrazeneca-et-les-thromboses-4036607

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  3. Bonjour,
    Une promo variante (qui peut être chantée):
    "Un microbe comme ballon rougeaud
    Qu'aurait du pangolin sans l'faire exprès
    Et dedans comme un asticot
    Qui tangue: le variant anglais

    Un maudit virus qui râle la nuit
    Comme un mâtin aux poils hérissés
    Et dans les corps de cette nuit
    L'aiguille qui tangue et vient piquer

    C'est Astra
    C'est Astra
    C'est Astra
    C'est Astrazeneca!"

    (Pardon Léo. Pour le variant breton faudrait voir coté Glenmor...)

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    1. Astra
      c'est vraiment toi !
      Ça se sent
      Ça se sent
      Ça se sent que c'est toi !

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    2. Sur un air de Gainsbourg Serge :

      Black Thromboseuh...
      Mono-dose-euh...

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  4. Axel Kahn sur Astra-Zeneca et les autres virus à ADN :

    "L'Usine Nouvelle - Que vous inspirent les difficultés rencontrées par le vaccin d’AstraZeneca ?

    Axel Kahn* - Dès novembre, je vous avais signalé qu’il fallait faire très attention avec les vaccins vivants adénoviraux, je ne peux que le confirmer. Dans ce cas-là, l’analyse la plus probable – ce n’est pas une certitude – est que les difficultés sont liées au choix du vecteur : l’adénovirus de chimpanzé. AstraZeneca a choisi ce vecteur dans l’optique d’une meilleure efficacité, car il a considéré qu’il n’y aurait ainsi pas d’anticorps anti adénovirus-vecteur limitant l’efficacité de l’injection vaccinale. Ce qui est peut-être une fausse bonne idée.
    D’emblée, lorsque j’ai vu les premières données de l’injection du vaccin d’AstraZeneca chez les jeunes soignants et soignantes, j’ai été très étonné car 30 à 40% d’entre eux étaient le lendemain dans leur lit avec 38-39° de fièvre et des douleurs. Je ne me rappelle pas avoir vu un vaccin donnant de telles réactions secondaires, bénignes mais pseudo grippales. Elles sont bien contrôlées par du paracétamol, peu importantes après 50 ans mais peu banales. J’ai travaillé des années en lien avec l’industrie des vaccins et ne me rappelle pas d’un phénomène d’une semblable intensité.

    - Dès lors, quelle pourrait en être la raison?

    - Il ne peut pas s’agir d’une réponse immunitaire "classique" ultra-rapide, et ce pour deux raisons : les humains n’ont jamais été infectés par l’adénovirus de chimpanzé, et ces réactions ne sont en rien limitées à de jeunes soignants ayant toutes les chances d’avoir déjà été contaminés par le Covid-19. De plus, on observe désormais que les réactions à la seconde dose d’AstraZeneca - dont on a recommandé qu’elle soit repoussée plus de six semaines après la première injection - sont beaucoup moins importantes. A contrario des réactions au vaccin de Pfizer-BioNTech, relativement bien supporté à la première injection mais qui donne parfois un syndrome pseudo grippal carabiné à la seconde. Pour ce dernier, on sait que la première injection est déjà bien protectrice, donc c’est probablement une réaction antigène-anticorps immune ultra-rapide lors de la réinjection."

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    1. *** (ma première phrase) : les autres VACCINS à ADN (pardon) !

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    2. vaccins à ARNm pas "à ADN", ce qui n'est pas pareil du tout, quand même !

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    3. @schizo : Vaccins à "vecteur viral", en réalité, ce qui est encore un peu différent. L'idée étant d'utiliser un virus bien actif (contrairement aux vaccins classiques) mais (a priori) inoffensif pour l'humain, ce dernier n'ayant jamais été mis en contact préalablement avec celui-ci. En l'espèce, chez Astra Zeneca : un adénovirus de chimpanzé.

      @Anonyme : Vous vous êtes emmêlés les pinceaux entre coronavirus et adénovirus. C'est la structure qui diffère. Les vaccins à ADN arrivent, hélas ! et eux promettent des dangers bien plus conséquents. Notons que l'idée reste toujours de provoquer une création de protéines grâce aux ribosomes de la cellule parasitée (et donc une création d'ARN messager : code nécessaire à cette construction protéinique) : mais il s'agit d'être précis, en termes de potentialité pathologique et de risque de "modification" du génome.
      Nous connaissions, par ailleurs, cette interview de Kahn. En effet, l'idée des russes est plus astucieuse : utiliser deux adénovirus au lieu d'un, afin de minimiser les risques de "reconnaissance" de l'adénovirus par l'organisme (et donc de réponse immunitaire forte si le même adénovirus repointe sa sale gueule quelques semaines plus tard : ce qui est le cas). D'où, apparemment, la plus grande tolérance au Spoutnik, semble-t-il. Chez Pfizer, la deuxième injection paraît, en effet, poser aussi des soucis, comme indiqué.

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    4. "Chez Pfizer, la deuxième injection paraît, en effet, poser aussi des soucis, comme indiqué."

      Pourtant chez Pfizer, il n'y a pas de vecteur viral, il me semble que c'est un nano-lipide qui transporte le matos dans le noyau de la cellule. Et quand on regarde la surmortalité en Israël, on ne voit guère de miracle.

      De toute manière, il semble que Manaus, où la population a été massivement exposée au virus complet mais reste quand même sensible aux variants, prouve qu'aucun vaccin ne fera sortir de cette crise. Mais bon, c'est ce qu'"on" a décidé, alors...

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    5. Idem pour le Chili, dont la population est vaccinée à 40 % et qui affronte une troisième vague terrible.
      Le druide Raoult ne se plantait pas forcément, du moins quand il expliquait qu'un vaccin pour coronavirus, hum...
      Si on ajoute à cela le génie gouvernemental macronien consistant à "vivre avec", c'est-à-dire laisser un taux énorme de propagation et de circulation, propice à une multiplication des "variants", donc des résistances auxdits vaccins...

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    6. À la décharge de Macron (ou pour mettre Macron en décharge, aussi bien), le bilan de la France n'a guère à envier à celui de la Suède qui n'a pris que peu de mesures contraignantes. Et d'ailleurs, en ce moment, on enregistre un "déficit" de mortalité par rapport à la moyenne des années précédentes (ce alors qu'on n'est pas entré dans les semaines de l'énorme pic de 2020, qui va fatalement "plomber" 2021 en comparaison). Bref, on se demande vraiment comment sont prises les décisions.

      Le plus choquant dans la vaccination étant qu'on fait participer les gens à un essai thérapeutique géant sans jamais le dire clairement (c'est ainsi qu'on éclaire à la lumière bleue le consentement des poulets en abattoir). La question pourrait se résumer ainsi: "faites-vous confiance à l'industrie pharmaceutique?", question à laquelle je trouve délirant que "non" soit une réponse jugée irrationnelle. D'aucuns disent d'ailleurs qu'"on" fait tout pour plomber la piste traitement, c'est à dire se concentrer sur la prévention de l'orage cytokinique et non de l'infection qui semble suivre sa propre et mystérieuse dynamique quoi qu'on fasse. Vu le mal qu'"on" s'est donné pour torpiller l'hydroxychloroquine, et peu importe ce qu'on en pense au final, ça ne me paraît pas absolument déconnant. Mais bon, quand les Crétois accusent les Crétois, allez savoir où est la vérité.

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  5. "La question pourrait se résumer ainsi: "faites-vous confiance à l'industrie pharmaceutique?", question à laquelle je trouve délirant que "non" soit une réponse jugée irrationnelle. D'aucuns disent d'ailleurs qu'"on" fait tout pour plomber la piste traitement, c'est à dire se concentrer sur la prévention de l'orage cytokinique et non de l'infection qui semble suivre sa propre et mystérieuse dynamique quoi qu'on fasse."

    Pas mieux.

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