lundi 8 avril 2013

En pleine forme

 
 

« Ha Ha Hi Hi. Je sais que Jésus m’aime
C’est par lui que l’aveugle voit,
Le sourd entend, le boiteux marche,
Ha Ha Hi Hi. Je sais que Jésus m’aime
Et si quelqu’un au ciel ira,
C’est moi, moi, moi et moi.
C’est moi »
.

Chant des petits sablais protestants baptistes.



6 commentaires:

  1. L'homme sur la photo (son nom : Shakeel Ahmad Bhat), il lui arrive aussi de sourire ( voir cette photo qui provient d'un article où un journaliste est parti à sa rencontre histoire de savoir qui était réellement ce garçon surnommé "Islamic Rage Boy" cliquer ici ).

    On peut notamment y lire les mots "Forgiveness is better than killing." venant de sa bouche.

    Au plaisir.

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  2. En revanche, si je vous suis bien, toujours pas de nouvelles des petits chanteurs de la chorale des Sablais ?

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    1. Si si, ils continuent de chanter.

      J'ai d'ailleurs retrouvé leurs cahiers : celui des petits et celui des moyens.

      Par contre ils ne sont pas catholiques mais protestants : une église – une équipe – une vision.



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  3. Cher Cédric,
    Vos talents d'enquêteur forcent le respect. Nous corrigeons immédiatement. C'est le fait suivant (information trouvée sur leur site) qui nous aura induit en erreur :
    " Depuis février 1999, elle (l'église protestante baptiste dont il est ici en effet question) se réunit dans un local mis aimablement à sa disposition par l'Église catholique (Paroisse Sainte-Marie des Olonne) ".
    Il est bien loin - décidément - le temps béni de la révocation de l'édit de Nantes...
    Il est tout aussi évident que des chants purement catholiques n'auraient su exhaler la même niaiserie criminelle.
    Bien à vous.

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    1. J'avais lu cela également, ce qui m'avait fait hésiter quelques instants quant à l'étiquette à donner à ces chants/gens.

      Ah oui, j'oubliais, vous êtes désormais, cher Moine bleu, dans la liste "Ne les croyez pas." présente sur mon blog. Ça n'est évidemment ni un honneur ni une malédiction, c'est juste comme ça. ;-)

      Bien à vous.

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  4. Ni rire ni pleurer, cher Cédric : comprendre.
    Bien à vous.

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