Il faut croire que l'institution scolaire, dans la RFA de 1982, n'offrait pas à ses usagers et usagères toutes les garanties d'épanouissement nécessaires. Revoyez le film "If", au besoin, pour vous replonger dans l'ambiance de cette autre époque (pas besoin de remonter jusqu'à "zéro de conduite"). Par ailleurs, un bâtiment qui se consume et un être humain qu'on égorge présentent-ils exactement le même caractère de gravité ? Cela se discute. Ce serait (un peu vite) assimiler certains jeunes émeutiers récents, aveuglés par la colère, à des djihadistes du Hamas.
Mouais... Toutes ces manifestations de violence (menaces de mort contre les professeurs, émeutes avec mise à feu des écoles, jihad en culotte courte, etc...), aussi diverses soient-elles, signent simplement le délitement et la décomposition d'une société (en aucune façon son émancipation). C'est simplement un constat d'échec. Y a t-il vraiment matière à se réjouir de cela ? (et surtout de la façon dont cette déliquescence prend forme ?) Suis pas sûr...
Là, on est d'accord. Mais on se réserve le droit de rire devant l'énormité de certains symptômes. Le rire est une modalité de la sidération. "Ma stupeur a toujours précédé ma colère", disait Villiers de l'Isle-Adam, qui fut aussi un comique génial.
Pour info, le titre de Extrabreit est un détournement cynique du titre d'un film allemand de 1969 "Hurah die Schule brennt", school-comedy et gros carton au box office de cette année-là.
Merci Dany. De véritables bout-en-train, ces chleuhs quand même ! Drai, drai cross-euh rikolat-euh ! J'ai vu la moitié du film. Assez pour comprendre que ce n'est pas le révolutionnaire [45e min.] doktor Bach qui brûle [16e min.] l'école.
Les cahiers au feu, la maîtresse au milieu !
RépondreSupprimerQuelle sinistre prophétie !!
RépondreSupprimer(Samuel Paty, Dominique Bernard, etc...)
"Hurra, hurra..." Vraiment ???
Il faut croire que l'institution scolaire, dans la RFA de 1982, n'offrait pas à ses usagers et usagères toutes les garanties d'épanouissement nécessaires. Revoyez le film "If", au besoin, pour vous replonger dans l'ambiance de cette autre époque (pas besoin de remonter jusqu'à "zéro de conduite"). Par ailleurs, un bâtiment qui se consume et un être humain qu'on égorge présentent-ils exactement le même caractère de gravité ? Cela se discute. Ce serait (un peu vite) assimiler certains jeunes émeutiers récents, aveuglés par la colère, à des djihadistes du Hamas.
SupprimerMouais...
RépondreSupprimerToutes ces manifestations de violence (menaces de mort contre les professeurs, émeutes avec mise à feu des écoles, jihad en culotte courte, etc...), aussi diverses soient-elles, signent simplement le délitement et la décomposition d'une société (en aucune façon son émancipation). C'est simplement un constat d'échec. Y a t-il vraiment matière à se réjouir de cela ? (et surtout de la façon dont cette déliquescence prend forme ?)
Suis pas sûr...
Là, on est d'accord. Mais on se réserve le droit de rire devant l'énormité de certains symptômes. Le rire est une modalité de la sidération. "Ma stupeur a toujours précédé ma colère", disait Villiers de l'Isle-Adam, qui fut aussi un comique génial.
SupprimerPour info, le titre de Extrabreit est un détournement cynique du titre d'un film allemand de 1969 "Hurah die Schule brennt", school-comedy et gros carton au box office de cette année-là.
RépondreSupprimerMerci Dany. De véritables bout-en-train, ces chleuhs quand même ! Drai, drai cross-euh rikolat-euh ! J'ai vu la moitié du film. Assez pour comprendre que ce n'est pas le révolutionnaire [45e min.] doktor Bach qui brûle [16e min.] l'école.
Supprimer