Oui. Mais le pauvre se retrouve vite, fusil en main, à violer, torturer, massacrer d'autres pauvres. Sous l'uniforme, tu restes un travailleur, disent les trotskistes. Voire...
Les Nazis aussi comptaient des prolétaires dans leurs rangs. Eût-il fallu, pour autant, les traiter différemment, dans les maquis et sur le front de la Seconde Guerre mondiale ?
L'urgence absolue, et la condition même d'un retour hypothétique de la question sociale, un jour lointain, c'est la défaite de la Russie fasciste. La défaite de la "force" face à la liberté, y compris dans sa version idéologique, bourgeoise.
Des pauvres gens et rien d'autre ! la guerre, l'enfer des pauvres !
RépondreSupprimerOui. Mais le pauvre se retrouve vite, fusil en main, à violer, torturer, massacrer d'autres pauvres. Sous l'uniforme, tu restes un travailleur, disent les trotskistes. Voire...
SupprimerLes Nazis aussi comptaient des prolétaires dans leurs rangs. Eût-il fallu, pour autant, les traiter différemment, dans les maquis et sur le front de la Seconde Guerre mondiale ?
SupprimerL'urgence absolue, et la condition même d'un retour hypothétique de la question sociale, un jour lointain, c'est la défaite de la Russie fasciste. La défaite de la "force" face à la liberté, y compris dans sa version idéologique, bourgeoise.
RépondreSupprimer