lundi 25 août 2025

Été indien


8 commentaires:

  1. l'extrême droite a donné le ton, la couleur ! Bande de charlots pathétiques !!

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  2. Le mouvement des gilets jaunes a été unique en son genre. Le 10 Septembre est une foutaise, un foutage de gueule intégral dont tout le monde évidemment n'en souhaite pas la venue à part les ravis de la crèche.

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  3. Cher Anonyme,

    je ne balancerais pas si vite ce bébé là avec l'eau de ce bain là.

    Que ce 10 septembre possède toutes les couleurs d'une auberge espagnole, avec son lot d'invités indésirables, je le conçois. Que ce 10 septembre fasse l'objet de bon nombre de récupérations, je le conçois itou.

    Je me souviens simplement des commentaires, venus de la "gauche", comme de ses extrêmes, qualifiant les premiers balbutiements des Gilets Jaunes de neo-poujadisme et d'autres noms d'oiseaux. On connaît la suite.

    Je pense donc, avec toutes les réserves qui s'imposent, qu'une protestation, une contestation, une révolte, une révolution (barrer la mention inutile) se fait, le plus souvent, avec ce que l'on a sous la main.

    Nous irons donc voir ce qu'il en est avant d'en conclure quelque chose.

    Le bonjour chez vous.

    Pierrot

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    1. Le suicide de Bayrou intervenant deux jours avant, il est clair que - pour protéger Macron - le but ultime est d'amoindrir cette menace. Une alliance objective des forces de l'ordre (macronien et syndicaliste) se dessine donc, CGT et compagnie se préparant vraisemblablement à décourager leurs membres de s'engager, c'est-à-dire "perdre de l'argent de manière inutile", etc. À voir, donc, si le désir de désordre et de subversion l'emportera, malgré tout.

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    2. Les accusations de Sophie Binet contre la "nébulosité", voire l'influence de l'extrême-droite dans l'organisation du 10 septembre, vont dans ce sens. Voir, là-dessus, la très pertinente déclaration d'Anasse Kazib (dont nous ne partageons pas toutes les vues générales, faut-il le préciser).

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    3. Je comprends que l'on soit enthousiaste à l'idée d'avoir l'occasion de faire part de sa colère face à l'inacceptable qui dure depuis trop longtemps. Pour ma part au vu de mon âge et de mon expérience du terrain ( La rue ), je n'ai aucune envie de me faire massacrer par une bande de poulagas et autres salopards à moitié fou qui n'hésiterons pas un seul instant à me massacrer si l'occasion se présente à leurs yeux. Amitié

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  4. Ça se comprend. Personne n'a envie de ça.

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  5. Lu sur France desinfo :
    "C'est pas une naissance, c'est une résurgence de cette colère", assure Jérôme Rodrigues, qui avait perdu un œil dans l'explosion d'une grenade de désencerclement tirée par la police, en janvier 2019. "Un ami vient de décéder et sa femme m'a envoyé son gilet jaune. Dessus, il était déjà marqué : 10 septembre", raconte-t-il. Les premières actions, ici et là, semblent s'inscrire dans la ligne directe du mouvement de 2018. En témoigne l'ouverture du péage de Valence-Sud (Drôme), dimanche 24 août. Comme à l'époque, des appels circulent pour reprendre les ronds-points, ces petites Bastille en puissance des périphéries. Le militant assure que "l'énorme base [des participants déclarés] reste 'gilet jaune', même si elle n'en porte plus le nom. Comme on dit chez les 'gilets jaunes' : 'gilet jaune' un jour, 'gilet jaune' toujours."

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