Ce n'est pas qu'une question de Kompromat. Trump est cultivé comme "contact pertinent" par les services staliniens depuis 1977 parce que lui et les staliniens partagent une même vision - fasciste - du monde. Cette conception est aujourd'hui majoritaire. Le mépris gauchiste et "anti impérialiste" pour le Droit bourgeois la renforce évidemment fortement.
Il fut un temps où le camp de la Révolution était aussi celui de la justice et de la vérité. Les anarchistes type Bernard Lazare, ou Péguy, trouvaient cependant déjà sur leur chemin des guesdistes ou des soreliens se désintéressant de la défense de Dreyfus au nom du fait que ce n'était pas là leur problème. On en est toujours là. Le respect des Ukrainiens, comme des Kurdes, contraints, pour survivre, à la fois au combat militaire et à l'alliance tactique avec les salopards yankees, est une condition nécessaire de l'intégrité politique, donc morale, contemporaine.
Quand viendra le temps où nous n'aurons plus à devoir attendre le bon vouloir d'assassins pour pouvoir enfin vivre de notre humanité sans être moqué par la morgue de leur lâcheté ?
Tant qu'une brute, type Macron, écrasera l'espoir à coup de flash-balls, de Brav-m et d'éborgnements ; qu'une autre brute, type Poutine, enverra des missiles et des drones Shahed sur des civils demandant la liberté minimale (négative), et que l'une et l'autre brute, sur des modes différents, certes ! triompheront néanmoins comme c'est le cas aujourd'hui, en vertu de ce fait que "le droit est toujours le droit du plus fort, et qu'il n'y a rien à redire à cela, que ce n'est pas un scandale, qu'il s'agit juste d'être plus fort et plus brutal, simplement, que la brute d'en face", RIEN ne sera possible, ni vivable, ni humain.
Là, c'est juste avant que Poutine lui sorte les dossiers Epstein, avec son blaze dessus. Après, ça rigole moins.
RépondreSupprimerCe n'est pas qu'une question de Kompromat. Trump est cultivé comme "contact pertinent" par les services staliniens depuis 1977 parce que lui et les staliniens partagent une même vision - fasciste - du monde. Cette conception est aujourd'hui majoritaire. Le mépris gauchiste et "anti impérialiste" pour le Droit bourgeois la renforce évidemment fortement.
SupprimerIl fut un temps où le camp de la Révolution était aussi celui de la justice et de la vérité. Les anarchistes type Bernard Lazare, ou Péguy, trouvaient cependant déjà sur leur chemin des guesdistes ou des soreliens se désintéressant de la défense de Dreyfus au nom du fait que ce n'était pas là leur problème. On en est toujours là. Le respect des Ukrainiens, comme des Kurdes, contraints, pour survivre, à la fois au combat militaire et à l'alliance tactique avec les salopards yankees, est une condition nécessaire de l'intégrité politique, donc morale, contemporaine.
RépondreSupprimerQuand viendra le temps où nous n'aurons plus à devoir attendre le bon vouloir d'assassins pour pouvoir enfin vivre de notre humanité sans être moqué par la morgue de leur lâcheté ?
RépondreSupprimerCe temps viendra, assurément. Mais nous serons morts depuis belle lurette.
SupprimerTant qu'une brute, type Macron, écrasera l'espoir à coup de flash-balls, de Brav-m et d'éborgnements ; qu'une autre brute, type Poutine, enverra des missiles et des drones Shahed sur des civils demandant la liberté minimale (négative), et que l'une et l'autre brute, sur des modes différents, certes ! triompheront néanmoins comme c'est le cas aujourd'hui, en vertu de ce fait que "le droit est toujours le droit du plus fort, et qu'il n'y a rien à redire à cela, que ce n'est pas un scandale, qu'il s'agit juste d'être plus fort et plus brutal, simplement, que la brute d'en face", RIEN ne sera possible, ni vivable, ni humain.
RépondreSupprimerLa vie doit devenir désirable. La liberté aussi. Et ce ne sera pas le cas, au sein des masses humaines, avant très très très longtemps.
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