Ci-dessus (en marron foncé) : deux malheureuses victimes, dont le régime alimentaire ordinaire évidemment brassicaire et porciphile - en d'autres termes : carboné (par opposition aux traditions sainement phosphatides du Français amateur de pain), explique hélas bien des choses...
« POLYCHÉSIE » : nom féminin, méd. (du grec chésiô : «déféquer», et pôli : «beaucoup»), désignant un trouble médical lié à une surcapacité pathologique d'excrétion fécale et urinaire, notamment provoquée par un allongement anormal congénital de la muqueuse intestinale.
Exemple : « La polychésie de la race allemande, par sa constance, par sa répétition et par sa fixité, constitue un caractère de race. Dans toutes les invasions antérieures, les hordes germaniques s'étaient signalées à l'attention par le débordement d'évacuations intestinales dont elles jalonnaient leur marche. Au point de vue criminologique, la scatomanie des Allemands offre la plus grande ressemblance avec les impulsions ordurières dont certains malfaiteurs aggravent l'accomplissement de leurs crimes et de leurs délits. Elle constitue, en quelque sorte, la signature des criminels dépourvus de toute pudeur, de tout sens moral et en voie de régression mentale. Comme l’Allemand est impuissant à amener par sa fonction rénale surmenée l’élimination des éléments uriques, il y a ajouté la sudation plantaire. Cette conception peut s’exprimer en disant que l’Allemand urine par les pieds. Ce qui explique que les populations d’Alsace-Lorraine se soient montrées aussi réfractaires à l’assimilation germanique. C’est qu’une question d’odeur divise profondément la race d’indigènes et la race d’envahisseurs. Le coefficient urotoxique est chez les Allemands au moins d’un quart plus élevé que chez les Français. Cela veut dire que s’il faut 45 cm3 d’urine française pour tuer un kilogramme de cobaye, il ne faudra que 30 cm3 d’urine allemande, plus toxique, pour obtenir le même résultat. »
(Docteur Edgar BÉRILLON, communication à la Société de médecine de Paris sur La polychésie de la race allemande, 1916, extraits, pp. 308 et 316).
Source scientifique : The K. M. Institute for Ethno-Differentialistic Studies, Paris, 2015.