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« Dans un glorieux triomphe, ils chevauchaient à travers l’Angleterre, fiers et gais, ivres jusqu’à l’intoxication du vin de la désolation.
Sur les champs et les villes, de mer à mer, le cortège passait rapide et libre, déchirant et écrasant jusqu’à ce qu’il arrivât à la ville de Londres.
Et chaque habitant, frappé de panique, sentit son cœur navré de terreur, en entendant le cri de tempête du triomphe de l’Anarchie. »
(Percy Shelley, La mascarade de l’Anarchie).
Sur les champs et les villes, de mer à mer, le cortège passait rapide et libre, déchirant et écrasant jusqu’à ce qu’il arrivât à la ville de Londres.
Et chaque habitant, frappé de panique, sentit son cœur navré de terreur, en entendant le cri de tempête du triomphe de l’Anarchie. »
(Percy Shelley, La mascarade de l’Anarchie).
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RépondreSupprimerJe ne suis pas sûr de vous comprendre, Dyhego.
RépondreSupprimerStaline, Pinochet, Franco : des anarchistes contrariés ?
À moins que vous ne parliez plutôt de cauchemar ?
Tout cela gagnerait à être un peu précisé.
'Seriez pas un peu de droite, Don Diego, ou un peu stal ou un peu catholique romain ?
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RépondreSupprimerJ'aime bien aussi leur deuxième tube :
RépondreSupprimer"Tu veux bâtir des cités idéaaa, ales,
Détruis d'abord, les monstruosités,
Gouvernements, casernes, cathédraaa, ales,
qui sont pour nous, autant d'absurdités..."
Toute une époque...
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