" En résumé, la fête me paraissait un bal de fantômes..."
Comme disait César, non pas à Aquis Calidis, mais à Zéla, aujourd'hui Zile : « veni, vidi, Vichy. »
Faudrait pas que Jean-Marie devienne notre pastille de Proust.
En France, toute pastille est bonne à prendre.
Pas vraiment celle-ci. Mèfi !!
Rhô, Anonyme... « On peut plus rien dire ».Ni l'avaler ni prendre Proust à la hussarde. Mais à la manière dont celle de Sade le fut – où il cantinait à l'aise – bien qu'il fut à Charenton ce jour-là ; suggéré-je à l'attention des poètes.
Sade : un Kant aride. Deux fanatiques de la liberté.
Goûtons à notre plaisir; non pas celui de la tombe mais du silence retrouvé. La mer, le soleil...
La pulsion de mort, pour résumer.
Peut-on séparer l'homme du raciste ?
Célèbre punchline de Roman Polanskin...
Comme disait César, non pas à Aquis Calidis, mais à Zéla, aujourd'hui Zile : « veni, vidi, Vichy. »
RépondreSupprimerFaudrait pas que Jean-Marie devienne notre pastille de Proust.
SupprimerEn France, toute pastille est bonne à prendre.
SupprimerPas vraiment celle-ci. Mèfi !!
SupprimerRhô, Anonyme... « On peut plus rien dire ».
SupprimerNi l'avaler ni prendre Proust à la hussarde. Mais à la manière dont celle de Sade le fut – où il cantinait à l'aise – bien qu'il fut à Charenton ce jour-là ; suggéré-je à l'attention des poètes.
Sade : un Kant aride. Deux fanatiques de la liberté.
SupprimerGoûtons à notre plaisir; non pas celui de la tombe mais du silence retrouvé. La mer, le soleil...
RépondreSupprimerLa pulsion de mort, pour résumer.
SupprimerPeut-on séparer l'homme du raciste ?
RépondreSupprimerCélèbre punchline de Roman Polanskin...
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