mercredi 17 juin 2020

Elle s'appelle Farida.

(16 juin 2020, manifestation du Personnel soignant, Paris)

«Cette femme, c’est ma mère. 50 ans, infirmière, elle a bossé pendant 3 mois entre 12 et 14 heures par jour. A eu le covid. Aujourd’hui, elle manifestait pour qu’on revalorise son salaire, qu’on reconnaisse son travail. Elle est asthmatique. Elle avait sa blouse. Elle fait 1m55».

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«This woman above is my mother. She's 50, she works as a nurse ; during 3 months, she worked between 12 and 14 hours per day ; She got COVID-19. Earlier this very day, she was demonstrating for a better wage, for her work to be respected. She's an asthmatic. She weared her medical gown. She's 1, 55 m tall (5 ft 1)».

5 commentaires:

  1. À d'autres. Z'avez vu comment les mains dans le dos et l'air de rien elle utilise habilement son centre de gravité pour placer deux clés de bras simultanées à deux fonctionnaires de police pris au dépourvu (dont un très malade, quelle lâcheté ! ) ? Ça sent le noir bloc infiltré à plein nez.

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    1. Une ultra-gauche radicalisée asymptomatique, c'est évident.

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    2. les infirmières c'est des sadiques... qui sait si elle n'avait pas des seringues planquées dans ses poches....

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  2. N'est-ce pas plus sympathique de souligner la combativité de Farida (maintenant que les images ont tournées allègrement) que sa qualité de victime de la répression ?
    https://twitter.com/Robinoude2/status/1273699622511394816

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    1. L'un n'empêche pas l'autre. C'est le sens de l'article qui suit immédiatement, consacré aux BRAV agents de l'ordre. Et puis nous n'avons aucun problème avec la notion de "victime" : il n'y a que guère que les libéraux qui mettent sur le même plan les "victimes" et les "bourreaux". On peut être combattant et victime.

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