mercredi 31 juillet 2013

Blague

« Âgé de 90 ans et mourant, Lévy, célèbre boursier, reçoit la visite de son ami le rabbin Kahn, venu lui soutenir le moral en lui disant :
- Vous vivrez jusqu’à cent ans.
Et Lévy répondit :
- Pourquoi voulez-vous que Dieu prenne à 100 ce qu’il peut avoir à 90 ? » 


(Popeck)
 

Popeck (1818-1883)

 

 

lundi 29 juillet 2013

Head and shoulders

« O gentilshommes, la vie est courte... Si nous vivons, nous vivons pour marcher sur la tête des rois. »

Shakespeare, Henry IV.



vendredi 26 juillet 2013

Bête à cornes


« Je vis alors monter de la mer une Bête à dix cornes et sept têtes ; elle portait sur les cornes dix diadèmes et, sur les têtes, des titres blasphématoires. Elle avait lallure de la panthère, les pattes de lours, la gueule du lion. Le Dragon lui conféra sa puissance, son trône, ainsi qu’une grande autorité. »

Apocalypse, XIII.

mercredi 24 juillet 2013

Un message d'amour


« L’action du doigt sur la détente qui déclenche la percussion devra se faire d’une façon extrêmement régulière, parallèlement au canon, de manière que la force exercée par l’index soit absorbée par la paume de la main, et que les mouvements mécaniques internes qui s’ensuivent ne viennent en aucun cas perturber la stabilité de l’arme. »

Valéry Carmona, Le tir sportif aux armes de poing.

mardi 23 juillet 2013

Aspects de la gentrification contemporaine

Paris, désormais.

Encore toute une journée trop busy grillée en meetings face-to-face, à forwarder des mails en open space, histoire de pécho LE capa planning raccord RH !!!! Soit ça ou alors des galops d’essai d’étudiants en socio trop pas motiv’ par ce qu’on leur teach (du coup, nous : over-bored la même, non mais allô, quoi !).


Alors, sorry les gens, mais nous après, on trace ASAP à Belleville, aux Folies ou au Vieux Saumur histoire de refaire le monde autour d’une bonne mauresque. Le troubleshooting, no way ! Fini pour aujourd’hui. Mais attention, ça veut pas  dire quon se met en mode « sans neurones » et pour ça, pour notre génération, y a grave Les éditions de la Fabrique. 


Non mais attends, quoi ! Déjà la charte graphique épurée trop tendance, à base de couleurs v
la la hype (surtout sur Les féministes blanches et l’empire : entre vert mousse et vert prairie, so fresh ! :) et puis Christine Delphy, aussi, Classer, dominer : style shade of grey touch (j’adooooore !), Pierre Tévanian (trop raccord-ghetto ! Représente !) et Jacques Rancière (Le spectateur émancipé : déjà v’la le titre comme il donne trop envie de le lire !!!!! :::)))). En plus, super trop pas cher, quoi ! vu nos finances à donf mégaprécaires. Tout un concept ultra-compact-chic-trendy, en fait ! Finis les books so 2012 trop l’affiche genre : « bonjour je travaille pas mais si en fait » lol :::))) 

Les éditions de la Fabrique ? 
Des livres qui nous ressemblent.

lundi 22 juillet 2013

Le diable et Marguerite


« Le peuple et même les grands, résignés spectateurs de cette guerre à la vérité, en supportent le scandale, parce que le mensonge du despote, quelque grossière que soit la feinte, paraît toujours une flatterie à l’esclave. Les Russes, qui souffrent tant de choses, ne souffriraient pas la tyrannie, si le tyran ne faisait humblement semblant de les croire dupes de sa politique. La dignité humaine, abîmée sous le gouvernement absolu, se prend à la moindre branche qu’elle peut saisir dans le naufrage : l’humanité veut bien se laisser dédaigner, bafouer, mais elle ne veut pas se laisser dire, en termes explicites, qu’on la dédaigne et qu’on la bafoue. Outragée par les actions, elle se sauve dans les paroles. Le mensonge est si avilissant que, forcer le tyran à l’hypocrisie, c’est une vengeance qui console la victime. Misérable et dernière illusion du malheur, qu’il faut pourtant respecter, de peur de rendre le serf encore plus vil et le despote encore plus fou. »
 
 Custine, Lettres de Russie (1839).

jeudi 18 juillet 2013

Choc de simplification


« La sensation la plus pénible qu’on éprouvait (en dehors de celle de voir les affaires les plus délicates de son propre pays entre les mains de gens sans intelligence ni conscience) était de se sentir comme immergé dans un bain quotidien de mensonges, que les journaux, les livres et les voix de la radio déversaient comme des torrents, sans répit. Après le vain espoir de mouvements populaires à l’intérieur, d’événements favorables sur le plan international, d’interventions de la Couronne, les opposants finirent par dire : tout ceci ne se terminera, malheureusement, pas d’une autre façon qu’avec une guerre ou un désastre national. »

Benedetto Croce, Écrits et discours, 1943-1944.

mercredi 17 juillet 2013

Calcul mental

« Sachant qu’un aliéné coûte quotidiennement 4 marks, un invalide 5, 5 marks, un criminel, 3, 5 marks, et que dans beaucoup de cas, un fonctionnaire ne touche que 4 marks, un employé 3, 5 marks, un apprenti 2 marks :
1- Faites un graphique avec ces chiffres.
2- D’après des estimation prudentes, il y a en Allemagne environ 300 000 aliénés, épileptiques, etc, dans les asiles. Calculez combien coûtent annuellement ces 300 000 aliénés et épileptiques. Combien de prêts aux jeunes ménages à 1000 marks pourrait-on faire si cet argent pouvait être économisé ? »

Manuel scolaire national-socialiste, cité in Alfred Grosser, Dix leçons sur le nazisme.

L'île au moine

« N’aie pas peur, désormais tu seras pêcheur d’hommes. » (Luc 5.1-10)

                        

lundi 15 juillet 2013

De la citoyenneté, des juifs et du souvenir ému de M. Bernard Bourgeois, propagandiste hitlérien.



                        
 « Aussi ne disons-nous pas aux juifs, avec Bauer : vous ne pouvez être politiquement émancipés sans vous émanciper radicalement du judaïsme. Nous leur disons plutôt : c’est parce que vous pouvez être émancipés politiquement, sans vous détacher complètement et définitivement du judaïsme que l’émancipation politique elle-même n’est pas l’émancipation humaine. Si vous, juifs, vous désirez votre émancipation politique sans vous émanciper vous-mêmes humainement, c’est que l’imperfection et la contradiction ne sont pas seulement en vous, mais sont inhérentes à l’essence et à la catégorie de l’émancipation politique. »

           Karl Marx, À propos de La question juive, 1843.



À une certaine époque, lointaine, le grand philosophe Emmanuel Lévinas estima à l’encontre de M. Bernard Bourgeois, spécialiste de Hegel, qu’il défendait l’œuvre de son héros de l’Esprit avec le zèle « d’un propagandiste hitlérien ». Le temps passa, puis ce fut M. Finkielkraut qui défendit la mémoire d’Emmanuel Lévinas, avec un zèle que nous nous bornerons à qualifier de « passionné » ou de « philosophique », tout en consacrant ses moments perdus, entre autres loisirs, au décompte plus ou moins précis du nombre de Noirs évoluant dans l’équipe de France de football, ainsi que Louis-Ferdinand Céline en avait déjà donné le brillant exemple, dans une lettre de juin 1942 : « Voyez nos équipes nationales sportives, bariolages grotesques, hâtifs racolages de n’importe qui, pêchés n’importe où, d’Afrique en Finlande ! » 

Nous ignorons si Emmanuel Lévinas eût estimé, s’intéressant à cette question sérieuse, qu’on a les apologètes qu’on peut, sinon ceux qu’on mérite. Toujours est-il que voilà quelques années, de passage à la Sorbonne, cette industrie de production en série du vide intellectuel sidéral, sous forme d’êtres humains bientôt  rendus suprêmement serviles et méchants, la fréquentation des cours de ce propagandiste hitlérien, donc, qu’était M. Bernard Bourgeois, constitua bien, en notre âme, l’un des seuls motifs durables d’enthousiasme donnant à l’existence, peut-être, la valeur d’être vécue. Les rares amis dont nous disposions alors (un seul, pour dire les choses crûment, et en termes de quantité, il faut bien reconnaître que les choses n’auront guère changé) pourraient témoigner des ravages, sublimes, causés sur nous par la palabre de ce petit homme en costume vert, qu’on eût juré chargé d’électricité (la faute au tissu, direz-vous. Certes, mais pas seulement), suiveur absolument assumé de son grand homme – propagandiste, en effet, de celui-ci, par amour, un amour qui passait, d’évidence, de lui à nous. À ce jour, la Phénoménologie, d’abord lue dans Hyppolite, littéralement primo-traduite chez ce dernier, puis dite, enfin, scandée, l’air de ne pas y toucher, par ce M. Bourgeois comme au coin du feu lorsque, levant les yeux vers le ciel de bois clos de son amphithéâtre, il se voyait pris d’un sourire léger, contrastant avec l’intensité, que nous devinions, de la possession intérieure l’étreignant depuis des décennies, à ce jour, donc, ces souvenirs-là ne nous ont point quitté. Ils nous renvoient sans aucun doute, en philosophie, à ce que nous connûmes de plus hautement plaisant. M. Bourgeois était Hegel, du moins s’efforçait de satisfaire à cette possibilité simple de lui offrir sa parole,  telle une humble occasion, afin que Hegel, en vérité, pût s’y exprimer tout entier, tout vrai, tout juste, au travers d’elle. Il ne rajoutait rien, ne retranchait rien non plus, suivait, avec fidélité, les exigences de la présentation de l’œuvre de son Maître, recouvrant ladite présentation de celle, plus fondamentale, de la Chose-même, de cette Darstellung nourrissant sa propre nécessité, simplement destinée à se voir adorer, ensuite, par quelque « Secrétaire de l’Esprit » compétent, capable d'en conserver la trace sténographique, acceptant de s’effacer devant elle en tant qu’intervenant trop trifouilleur, pour la restituer parfaitement, parfaitement nue. Ce mouvement de l’Esprit présenté par Hegel comme automatique avait beau être celui de l'esprit de Hegel  lui-même, quoi qu’il en dît (et à notre époque, conséquemment, celui de M. Bourgeois parlant de Hegel), nous ressentions devant un tel mouvement, devant sa force de conviction, la même admiration que Marx ne cessa jamais de lui vouer, quoiqu’il eût percé son mensonge, ou disons sa fausseté. Sans doute pour les mêmes raisons, ainsi définies par lui dans sa Sainte Famille 

 « D’abord, Hegel s’entend, avec une maîtrise de sophiste, à exposer le processus par lequel le philosophe passe – grâce à l’expérience sensible et à l’intuition d’un objet à l’autre -, comme le processus même de l’être de raison imaginé, du sujet absolu. Mais ensuite Hegel propose très souvent, à travers son discours spéculatif un discours réel qui appréhende l’objet même. Ce développement réel à l’intérieur du développement spéculatif incite le lecteur à considérer le dernier comme réel et le premier comme spéculatif. » (Chapitre 5, II).

Spiritualiser le réel, oui. Voir dans chaque objet – ou tordre celui-ci pour y voir – de l’intelligible, autrement dit – pour nous – du sens, de la raison, et de l’histoire : un pouvoir à prendre, humainement, sur lui, sur sa facticité prétendument indépassable. Enchanter la trivialité du réel, trouver une légitimité, donc une forme de beauté, au plus anecdotique des débris de réalité. Colorer, soudain, les choses, les gens, les lieux, de nécessité avant de faire retour à leur massivité, à leur opacité brute et minérale. Passer, sans fin, de l’un à l’autre de ces états. Crouler sous le sens possible, la connaissance le méritant, légitime, de tout le réel. Voilà ce qui nous fascinait, et nous fascine toujours, dans la fréquentation de Hegel.

Le cliché inépuisable de sa judéophobie profonde n’aurait-elle point été étrangère à la présentation lévinassienne du très-fidèle M. Bourgeois comme zélateur et « propagandiste hitlérien » ? La chose est probable. Les instructeurs perpétuels, inconscients ou non, de ce procès en antisémitisme de Hegel doivent néanmoins savoir qu’ils ne sortiront jamais grandis d’une telle affaire. Ils font mine d’oublier qu’en des temps où la limite à l’expansion de la pensée demeure une limite théologique, le propos théologique ne saurait, lui, suffire à définir l’engagement politique concret. Et ils passent soigneusement sous silence des phrases telles que celle-ci :

 « Autant on serait formellement en droit de s’opposer à l’octroi de droits civiques aux Juifs, sous prétexte qu’ils ne se considèrent pas simplement comme un groupe religieux particulier mais comme membres d’un peuple étranger, autant ceux qui invoquent tapageusement ce point de vue et d’autres semblables oublient que les juifs sont avant tout des hommes et que cela n’est pas qu’une qualité futile et abstraite (…) ; bien au contraire, cela implique que, grâce aux droits civiques octroyés, on fait naître le sentiment de dignité, la certitude d’être considérés comme des personnes respectables dans la société civile, et c’est de cette source infinie et totalement libre que naîtra l’égalisation exigée de la manière de penser et de juger. Sinon, la séparation reprochée aux juifs se serait plutôt maintenue, et c’est à juste titre que l’on aurait pu en rendre responsable l’État pratiquant à tort l’exclusion. »
(Philosophie du Droit, ¶ 270),

ou celle-là :

« L’homme vaut ainsi (comme personne universelle), parce qu’il est homme, et non parce qu’il est juif, catholique, protestant, Allemand, Italien, etc. Cette conscience est incommensurable ; elle n’est fautive que si, par exemple, elle s’obstine à s’opposer en tant que cosmopolitisme à la vie concrète de l’État. » 
(ibid, ¶ 209).

 Faut-il rappeler que Marx se voit lui-même aujourd'hui encore fréquemment taxer d’antisémitisme, alors que le fameux « cosmopolitisme » stigmatisé ci-dessus comme seule menace valable (quoique finalement inepte) permettant formellement, d'après Hegel, de s’opposer à l’octroi de droits civiques aux juifs en Allemagne (rappelons qu'ils en étaient alors dépourvus, aux termes de la nature religieuse explicitement chrétienne de l'État) révèle précisément l’insuffisance, décelée par Marx, du simple mot d’ordre d’émancipation politique des juifs, un mot d'ordre dont tous deux – Hegel et Marx – furent cependant des défenseurs acharnés ?

À l’émancipation politique – soit la liberté bourgeoise et citoyenne d’être considéré à la fois comme juif et comme citoyen – doit succéder l’émancipation humaine, c’est-à-dire, pour Marx, l’émancipation commune en-dehors de l’État et de sa foutue citoyenneté. Les sentences soi-disant « antijudaïques » de Marx, tirées de la seconde partie de sa réplique à la Question Juive de Bruno Bauer doivent, de fait, simplement s’entendre comme la dénonciation de la tartufferie bourgeoise habituelle cristallisant en religion, juive ou chrétienne, dans un État laïque respectant les droits de l’homme (État que Marx appelle pourtant sans ambiguïtés de ses vœux, comme un progrès). Et quand il évoque le destin sordidement « juif » de la société chrétienne, son enjuivement en quelque sorte (et cet imbécile de Céline, encore lui, s’est plusieurs fois amusé bruyamment, auprès de ses amis nazis, de lire semblable expression sous la plume du juif Marx), quand il évoque le destin « d’argent » de cette société, Marx fait, au fond, précisément référence à l'hypocrisie antisémite habituelle, persistant à associer spécifiquement les juifs à l’argent, lors même que tous : juifs, chrétiens ou athées, sacrifient désormais à cette espèce de religiosité indéfinie, et impersonnelle, parfaitement adaptée à l’ignoble nouveau monde des affaires. Léon Bloy ou Nietzsche, dans leur critique implacable de l’antisémitisme laïque, adopteront d’ailleurs des positions étrangement voisines. Quant à Heine (lui-même juif et communisant), ne déclarait-il pas dans une lettre parisienne datée de 21 mai 1840 :

« Dans la synagogue, tout comme dans l’église chrétienne, l’acide spirituel de la critique voltairienne a produit des effets destructeurs. Chez les Français juifs ainsi que chez les autres Français, l’argent est le dieu du jour, et l’industrie est la religion dominante » ?

D’aucuns auront même, pour cela, prêté à Marx une dimension de messie juif, de « rabbin communiste », pour reprendre le surnom dont on affublait parfois Moses Hess, au motif qu’en stigmatisant le « juif des autres jours de la semaine » par opposition au « juif du shabbat », c'est-à-dire le juif observant fidèlement les règles religieuses, certes, mais un jour sur sept seulement, les autres étant consacrés, sans que ledit juif y voie un problème quelconque, aux canailleries triviales du commerce et de l’usure, Marx aurait manifesté, vis-à-vis de la ferveur juive religieuse authentique, une sorte de nostalgie romantique.

Cela nempêcha pas certaine revue théorique, paraît-il libertaire, il y a quelques années revue dont nous tairons ici le nom par indulgence et dont un exemplaire nous tomba Dieu sait comment ! entre les mains ces jours derniers de laisser généreusement recontextualiser, en une pauvre phrase, émise par quelque savant universitaire interviouvé, le soi-disant antisémitisme de Marx, compréhensible, expliquait en substance ledit interviouvé (suggérant ainsi qu’un tel antisémitisme serait excusable : merci pour lui) à laune, d’une part, de l'ignorance de Marx, et de la judéophobie européenne ordinaire, dautre part,  constituant un lieu commun - y compris chez les communistes - de son époque.

Grandeur et finesse inaltérables, en particulier sur les questions de religion, de la critique sociale radicale française. 

jeudi 11 juillet 2013

Bon à savoir


mercredi 10 juillet 2013

Des problèmes de nuisibles ?


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Grande vacance

« Le révolutionnaire est dans le peuple comme un poisson dans l'eau. » 
(Mao Zedong, Problèmes stratégiques de la guerre révolutionnaire en Chine).

vendredi 5 juillet 2013

Emeutia Erotika


« Et tout comme le goût du sang vient à une bête, il fit volte-face, mit sa tête entre mes jambes et plaça son cul au-dessus de mon visage. Sa bouche ajustée à ma chatte, c’est toute son armée d’orthoptères qu’il mobilisait maintenant. Je sentais leurs élytres mous me chatouiller le clitoris, leurs ailes s’agiter en tout sens, leurs pattes s’empêtrer dans mes poils, au point de ne plus distinguer qui, des blattes, des sauterelles, des grillons ou des phasmes me donnait le plus de plaisir. »

(Lilith Jaywalker, Emeutia Erotika).


Note : L'ouvrage de Lilith Jaywalker est disponible à partir d'aujourd'hui à la librairie ENTROPIE,  à Paris, au 198 boulevard Voltaire (Métro Charonne ou Rue des Boulets). On peut également se le procurer directement auprès des éditions Sao Maï. On le trouvera, sinon, dans toutes les bonnes librairies (en rayon ou à la commande) à partir du 25 juillet 2013. 
Tous nos saluts, les plus doux et tendres, à la belle.

mardi 2 juillet 2013

Ernst a un vrai problème d'intelligence.

 
Une rue de Paris encore imparfaitement embourgeoisée, Juin 2013.