« L’action du doigt sur la détente qui déclenche la percussion devra se faire d’une façon extrêmement régulière, parallèlement au canon, de manière que la force exercée par l’index soit absorbée par la paume de la main, et que les mouvements mécaniques internes qui s’ensuivent ne viennent en aucun cas perturber la stabilité de l’arme. »
Valéry Carmona, Le tir sportif aux armes de poing.
Valéry Carmona, Le tir sportif aux armes de poing.
RépondreSupprimerVu l'illustration, il n'y a plus de doutes possibles : il s'agit d'une crosse !
( Il me semble que vous êtes le seul à pouvoir comprendre ce commentaire, cher Moine Bleu ! ;-) )
En effet, cher Cédric.
RépondreSupprimerIl s'agit bien d'une crosse (et d'un martyre groupé, si vous me permettez cette facétie annexe).
Hé non, Cédric, y'en a d'autres qui suivent…
RépondreSupprimerEn plus, il ne s'agit pas d'une crosse, mais d'une poignée d'évêques !
Et c'est pas Manchette qui me contredira…
RépondreSupprimerRéjouissant votre commentaire cher George ! :-)
Nous pourrions intituler cette série de commentaires ainsi :
Des subtilités lexicales du droit canon.
Au plaisir !
Très bien vu, cher Cédric, surtout que substantif et adjectif sont ici kif-kif !
RépondreSupprimerEt qu'on ne vienne pas nous chercher des crosses (sinon j'entonne du Ricet Barrier…)