"Il n'y a plus d'aventure importante parce qu'on ne risque plus sa vie. Et même l'amour a moins de sel parce qu'il est rendu possible. Les histoires amoureuses sont possibles parce qu'il y a des fraises tagada"
Aussi s'emploie-t-on, directement ou indirectement, partout où il est possible, en Syrie, au Yémen, en Libye, à maintenir les conditions trépidantes d'une vie aventureuse made in France. Est-ce qu'ils chialent pour leurs APL de petits-bourgeois à Raqqa ? Non ! Vive la France, vive la vraie vie pleine d'absolu, vive la mort !
Quand le sachet de fraises sera vide, pourrait peut-être aller nettoyer les cuves à Flamanville, s'il veut du sel et de l'aventure, le Mac..., pour tâter du peuple et de la so called petite-bourgeoisie.
Non, Macron n'est pas en train de devenir fou. Contrairement à ce qu'avance Rutileaks, le président ne se masturbe pas en lisant Carl Schmitt dans le texte. S'il est vrai qu'il ne s'est pas rasé depuis trois jours, ce n'est pas pour se faire pousser une moustache, comme le suggère un article éphémère paru dans Mediapart, mais retiré grâce à la célérité d'Edwy Plenel qui a envoyé un courrier poli mais ferme au blogueur qui partageait un blog dans le dispositif abonnés de l'éditeur de contenus journalistiques. La rumeur selon laquelle Benalla l'aurait contacté via un numéro de téléphone au nom de Paul Bismuth pour vérifier s'il avait reçu l'exemplaire du Coran qu'il lui avait envoyé est elle aussi infondée. Il semble en revanche vérifié que le chef d'État repose à la Lanterne.
J'ai fait d'indéniables progrès en sieste. Pour ce qui en est des frères des locutrices que vous évoquez, ce dévoilement de la calvitie royale selon le suivi des rebonds d'une moustache de recteur sur la tête d'un chauve, ci-après :
"Il n'y a plus d'aventure importante parce qu'on ne risque plus sa vie. Et même l'amour a moins de sel parce qu'il est rendu possible. Les histoires amoureuses sont possibles parce qu'il y a des fraises tagada"
RépondreSupprimer" Ils détestent le pouvoir et le peuple."
SupprimerOr, il faut choisir.
Aussi s'emploie-t-on, directement ou indirectement, partout où il est possible, en Syrie, au Yémen, en Libye, à maintenir les conditions trépidantes d'une vie aventureuse made in France. Est-ce qu'ils chialent pour leurs APL de petits-bourgeois à Raqqa ? Non ! Vive la France, vive la vraie vie pleine d'absolu, vive la mort !
SupprimerVous faites le lit du fassissme.
SupprimerNauséabond.
On déconne, wesh.
SupprimerQuand le sachet de fraises sera vide, pourrait peut-être aller nettoyer les cuves à Flamanville, s'il veut du sel et de l'aventure, le Mac..., pour tâter du peuple et de la so called petite-bourgeoisie.
SupprimerOui, mais toujours en portefeuille, avec certes une deuxième couche de mon cru à l'intérieur.
SupprimerAh l'absolu !!! et si on reprenait plutôt au sérieux le Sens des limites ?
RépondreSupprimerPas mieux.
RépondreSupprimerMacron en Schelling contemporain, ça va pas le faire.
Check News.
RépondreSupprimerNon, Macron n'est pas en train de devenir fou. Contrairement à ce qu'avance Rutileaks, le président ne se masturbe pas en lisant Carl Schmitt dans le texte. S'il est vrai qu'il ne s'est pas rasé depuis trois jours, ce n'est pas pour se faire pousser une moustache, comme le suggère un article éphémère paru dans Mediapart, mais retiré grâce à la célérité d'Edwy Plenel qui a envoyé un courrier poli mais ferme au blogueur qui partageait un blog dans le dispositif abonnés de l'éditeur de contenus journalistiques. La rumeur selon laquelle Benalla l'aurait contacté via un numéro de téléphone au nom de Paul Bismuth pour vérifier s'il avait reçu l'exemplaire du Coran qu'il lui avait envoyé est elle aussi infondée. Il semble en revanche vérifié que le chef d'État repose à la Lanterne.
Vous semblez tenir la forme, comme on dit chez les péripatéticiennes.
SupprimerJ'ai fait d'indéniables progrès en sieste. Pour ce qui en est des frères des locutrices que vous évoquez, ce dévoilement de la calvitie royale selon le suivi des rebonds d'une moustache de recteur sur la tête d'un chauve, ci-après :
SupprimerChemin dans l'histoire de la forme qui mène quelque part (entre 1 h 7 minutes et 1 h 10 minutes, agrémenté d'un bel éclat de rire — contenu — à 1 h 8 minutes et 30 secondes), et même ailleurs aussi, dans d'autres épisodes de cette excellente série tournée non loin d'un square dont nous parlions. Par exemple dans des contrées plus exotiques de la ratio, via la langue écrite indûment dite coranique.