Nous formulons le voeu que chaque taré djihadiste abattu devant, ou dans Kobané l'insoumise, l'ait été de la main agile d'une femme, et que ce taré l'ait su juste avant de crever. Mieux encore : qu'il ait conservé, jusqu'au bout, un doute à ce sujet, se gâchant ainsi l'arrivée en son paradis — ridicule, non moins que son enfer pathétique et sa divinité absurde.
“Les combattants d’al-Qaïda deviennent dingues quand ils apprennent que nous, leurs ennemis, sommes des femmes combattantes”, une combattante kurde.
RépondreSupprimerNous aussi, nous "prions" pour elles.
Prier, certainement pas.
RépondreSupprimerLes aimer à jamais, sans aucun doute.