« Les rapports de l'enfant avec les personnes qui le soignent sont pour lui une source continue d'excitations et de satisfactions sexuelles partant des zones érogènes. Et cela d'autant plus que la personne chargée des soins (généralement la mère) témoigne à l'enfant des sentiments dérivant de sa propre vie sexuelle, l'embrasse, le berce, le considère, sans aucun doute, comme le substitut d'un objet sexuel complet. Il est probable qu'une mère serait vivement surprise si on lui disait qu'elle éveille ainsi, par ses tendresses, la pulsion sexuelle de son enfant, et en détermine l'intensité future. »
(Sigmund Freud, Trois essais sur la théorie de la sexualité)
Oh beau Moine, vous vous êtes rhabillé et avez rangé votre bel épithète. Dommage, je vous préférais dans le plus simple appareil plutôt qu'affublé de la sorte, le sourire carnassier aux lèvres et accompagné de cette greluche ridicule. Vous me décevez un peu pour tout vous dire.
RépondreSupprimerUne succube un peu moins énamourée que la dernière fois et qui veut toujours rester anonyme
Il est vrai que la photo date un peu.
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