« Le fondateur du géant de l'ameublement suédois IKEA, Ingvar Kamprad, est mort samedi. Fils de paysan devenu multimilliardaire, il laisse derrière lui un empire colossal et un parfum de scandale avec un goût prononcé pour l'optimisation fiscale.... »
(France 24, 29/01/18)
Jag är så glad !
RépondreSupprimerVi också (on a mauvais fond).
Supprimer... c'est notre côté cercueil en carton...
SupprimerEt pendant ce temps, le PDG de Quicksilver disparaissait au large d'Hossegor.
RépondreSupprimerHomme libre, toujours tu chériras la mer.
C'est beau, ce que vous dites.
SupprimerSnif.
dans le genre.e prolo.e devenu.e milliardaire.e, "la France" a eu Dassault.e (Marcel & fils). Ikea a moins tué, mais quand tout de même quelques-un.e.s sous les meubl.e.s effondré.e.s, ou perdu.e.s dans ses dédale.e.s
RépondreSupprimersigné Patlotch, agent jeune et à jeun
Le Capital, qu'il soit suédois, françaoui ou eskimo, c'est toujours le Capital. Faudrait voir à dire ça à votre poto Mbembe, à Rokhaya Obama, Houria Hazan et autres ennemis de classe décoloniaux "zanti-blancs". Zêtes bien gentil, Patloques, de vouloir remettre les pendules à l'heure sur la france et pis dassault. Il se trouve que nous, on avait déjà rappelé ce genre de banalité de base, et voilà quelque temps déjà : http://lemoinebleu.blogspot.fr/2017/12/capitation.html
RépondreSupprimerColorblindly...
mais enfin, pourquoi vous obstiner à cet amalgame intellectuellement malhonnête ? Bien sûr le capital reste le capital, comme mode de production, mais il a une histoire, et celle-ci se croise avec en lui sa genèse occidentale et la crise aujourd'hui de cette suprématie dans le capitalisme global. Qu'en sortira-t-il ?
Supprimerprobablement pas une crise de reproduction ouvrant une fenêtre révolutionnaire communiste ; vraisemblablement une restructuration géo-économique, déjà engagée, peut-être une domination asiatique... Le facteur démographique sera déterminant
le "tournant décolonial" en un symptôme de cette double crise, et qui ne se réduit pas à ses apparitions françaises marginales, sur lesquelles vous vous focalisez. Le PIR n'est guère que la section indigène du NPA, comme il ressort non seulement des propos de Bouteldja, mais des positions théoriques de Sadri Khiari, Selim Nadi, Norman Ajari... Comme les marxistes commémorateurs des révolutions programmatistes, ils ne cessent de commémorer les luttes de libération nationales, l'anticolonialisme, ce qui ne correspond pas aux thèses décoloniales elles-mêmes critiques du post-colonialisme. Mbembe ne se dit pas "décolonial", il ne donne que les repères pour l'émergence d'un capitalisme africain. Mes thèses n'ont rien à voir avec ça, et quiconque s'y penche un tant soit peu sérieusement le sait
un de mes concepts centraux est le dépassement à produire d'identités de luttes, ce qui renouvelle la question de la dialectique des contradictions de classe
un autre le problème de la constitution en classe révolutionnaire de tout ce qui est susceptible d'affronter radicalement le capitalisme, là où la plupart des marxistes voient le prolétariat toujours constitué en classe, comme sous les yeux de Marx, et où les communisateurs attendent son retour comme le messie
ici et maintenant, sur le plan théorique, c'est la méthode de Marx qui nous est utile, plus que les résultats politiques qu'il tire dans Le Manifeste et plus tard en inventeur du programmatisme ouvrier, avec son parti, son Etat prolétarien, et la version conseilliste auto-gestionnaire jusqu'à l'IS. Tout cela est caduc, et ne correspond plus à rien de concret dans les affrontements actuels
tout cela s'est sclérosé en croyances qui, pour ne pas être religieuses, n'en sont pas moins idéalistes, en retrait sur la 11è Thèse/Feuerbach
après, on se montre au niveau de ce débat théorique, ou pas. Vous non, c'est votre problème
multicolorement...
Patlotch
http://civilisation-change.forumactif.org/
Le Capital, grande tête molle que vous êtes, ne VIT que de ses crises perpétuelles - qui ne sont que des crises de croissance (jusqu'à la catastrophe écologique qui se profile, certes) et du bouleversement incessant de ses conditions de reproductions. "Qu'en sort-il" alors ?, suivant votre questionnement de pédagogue grossier inepte... Rien d'autre, en effet, possiblement, qu' "une domination asiatique" ou d'autres (mais pas "démographiquement " conditionnées o stupidité) : la domination asiatique dont vous parlez est précisément avant tout une domination de RICHES asiatiques sur des PROLÉTAIRES asiatiques, domination offrant accessoirement POUR LES PROLÉTAIRES non-asiatiques les données du problème et de sa solution. Le marxisme doit toujours être une doctrine simple et réaliste, accordons ça à Oulianov. N'importe qui ici comprend en deux secondes que les esclaves producteurs chinois ou polonais sont seulement moins bien payés que les esclaves français, et que c'est là le secret bien trivial d'une "productivité" accrue. Où est le mystère "culturel", là-dedans au juste ? IL N'EXISTE GUÈRE QUE POUR LES IDÉOLOGUES RACISTES, HEUREUX OU HONTEUX. On serait curieux de vous voir exposer la nature "concrète" (pas comme ces cons de marxistes de toutes obédiences, n'est-ce pas, fustigées par le génie de votre verbe divin) du "mode de production décolonial" constituant l'horizon de votre néo-paradigme foireux ? On ne fabrique pas une bagnole, un ordinateur ou des baskets à l'asiatique ou à l'africaine. En revanche, dans leurs nouvelles usines d'Éthiopie, les crapules staliniennes chinoises associent ces jours-ci à leurs méthodes goulaguesques (coucou Houria goulaguiste anti-sioniste !) les bonnes vieilles techniques "blanches" 19th century style d'extraction de plus-value. Et il n'y a pas de raison qu'un hypothétique MPC décolonial (pure foutaise) décide de changer jamais une méthode ayant à ce point fait ses preuves. Notre colorblindness est ainsi dialectique : les différences sont pour nous capitales, mais au sein d'une identité qui ne vit que dans la différenciation permanente. Seulement, vous êtes bien trop ignorant et fanatiquement "différencialiste" (comme tous les post-modernes FRANÇAIS, M. le critique de "l'idéologie française") pour apercevoir cette continuité dans l'apparence, cette désespérante poursuite du MÊME capitaliste dans la pseudo-"diversité" indigène-rokayadialliste. Ces gens-là sont des macroniens, bordel. Réveillez-vous. Pourquoi croyez-vous donc qu'ils soient "anti-impérialistes", qu'ils défendent matin, midi et soir comme modèles de société l'Algérie du FLN, le Viêt Minh et compagnie : autant de régimes les plus contre-révolutionnaires et bourgeois qui aient jamais été. Il ne s'agit donc pas de finasser avec eux, mais de les dénoncer radicalement pour ce qu'ils sont : à savoir la petite-bourgeoisie indigène diplômée attendant juste sa part du gâteau, en faisant monter les enchères sur la base de sa capacité de nuisance politique au sein du prolétariat d'origine immigrée (capacité, du reste, réellement fantasmée et inexistante, puisque ce ne sont que des sales bourges d'étudiants de troisième cycle). Or, en dépit de vos soi-disant critiques adressées au PIR, il n'y a qu'une misérable différence de degré entre vous et ces sinistres imbéciles racistes, différence de degré dans la confusion idéologique : car vous EXPLOSEZ littéralement tout ce qui, chez eux-elles, est déjà insupportable. Vous accentuez jusqu'au délire leurs PIR travers. Et (on vous accorde au moins ça), il est tout à fait exact qu'ils ne représentent que la fraction indigène du NPA, laquelle finira, comme toutes les autres, et comme vous-mêmes, aux poubelles de l'histoire.
SupprimerTrop super ! Substituer l'universalité des producteurs exploités en quête de leurs émancipations singulières par l'addition des particularités aliénées “empowermentés”. Qui plus est y adjoindre la thèse de la baisse tendancielle du taux de mélanine structurante, non sans laisser sourdre le péril jaune. On avait compris, patte-louche. Trop nul !
SupprimerIl y en aura d'autres des Conseils. Il y en a même déjà d'embryonnaires. Encore faut-il ne pas les réduire à la réappropriation des moyens de production tels qu'ils sont, mais à leur transformation, dont les théories du détournement n'étaient qu'un commencement et une avancée par l'extension du domaine de la lutte à la vie quotidienne qu'elles induisaient destructivement et créativement, et pas aux "rôles sociaux sociétalisés" qui l'animent spectaculairement et chapeautés par toutes formes, plus ou moins assouplies, de “superstructures”, pour le comprendre.
Voilà où ça aura mené d'avoir réduit le prolétariat à sa supposée identité. À force on ne voit plus que ça : des identités. Et nous savons que vous n'êtes pas le seul héraut de cette réduction, forgé que vous fûtes par les bordigo-RSistes appareillés dont vous attendez la pénible jonction.
Déchirez donc votre site avec votre Opinel préféré. Un conseil...
toyotisme n. m. fordisme décolonial. « Les (sales) Blancs (racistes impérialistes) se sont partout culturellement appropriés le toyotisme émancipateur du Prolétariat (racisé) mondial (non-mixte) »
Supprimer