dimanche 5 janvier 2014

Quenelles sans qualités

« – Et Gerda, à sa manière libertaire, blonde et germanique, ne veut pas admettre le problème ?
– Elle est en cela telle que je fus dans ma jeunesse. Croyez-vous d’ailleurs que Hans Sepp soit un garçon d’avenir ?
– Gerda est-elle fiancée avec lui ? demanda prudemment Ulrich.
– Mais ce garçon ne pourra jamais entretenir un foyer ! soupira Clémentine. »

(Robert Musil, L’Homme sans qualités).

2 commentaires:

  1. Si j'avais ce type d'humour, je dirais que les doigts de la dame forment deux c... et qu'entre ces deux c..., fort logiquement, il y a une b... !

    Mais je n'ai pas ce type d'humour, et jamais je ne pourrais ne serait-ce qu'imaginer ce genre d'images de très mauvais goût !

    Et si vous avez compris ce que je n'ai pas dit ni même pensé, c'est que vous avez l'esprit très mal tourné et je ne vous félicite pas ! Honte à vous !

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  2. On reconnaît bien là chez vous cette manière ironique de dénigrer : vile, dissimulée et subliminale ! propre à certains lobbys puissants et occultes que nous ne saurions nommer ici sans courir immédiatement le risque de nous faire enlever, à fin de tortures, par leurs nervis extra-terrestres.

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