Dans notre souvenir, le clip publicitaire vantant le véhicule en question mettait en scène des machines saisis, au moment d'accoucher leur chiure de tôle, par quelque Schwärmerei esthétique d'avant-garde. Aucun humain à l'horizon, ni Picasso ni personne. Vous aurez simplement échoué à identifier le numéro de série de l'artiste, voilà tout.
Y en a à qui je redesignerais bien la gueule à coup de saton. Façon méchamment post-moderne.
RépondreSupprimerJust do it, Themroc.
RépondreSupprimerAlors on est passé de l'ère bling-bling à l'ère klimt-klimt ?
RépondreSupprimer(Parabole) :
RépondreSupprimerEt le gardien glissa sa lourde clé dedans l'infâme serrure du cachot enténébré.
Et l'on entendit ledit cliquetis :
Nike nique Klimt.
C'est tout de même plutôt bien conçu. Sur les Citroën Picasso, par exemple, je n'ai jamais pu reconnaître la patte du peintre.
RépondreSupprimerDans notre souvenir, le clip publicitaire vantant le véhicule en question mettait en scène des machines saisis, au moment d'accoucher leur chiure de tôle, par quelque Schwärmerei esthétique d'avant-garde. Aucun humain à l'horizon, ni Picasso ni personne. Vous aurez simplement échoué à identifier le numéro de série de l'artiste, voilà tout.
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