Elle aurait pourtant eu sa place sur la porte d'entrée de la maison Périglioni qui, je vous le rappelle, fait une petite promotion qui s'arrête fin janvier ! ;-)
Assez savoureux. Cela ne vaut point, cependant - du même - ni le CRS poète à ses heures, ni "la patte folle du Calvados", datant de l'époque où le malheureux travaillait avec un certain nazi africain, dont le patronyme ne nous revient pas.
Ah que j'aimerais voir cette affiche à l'entrée d'un crématorium !
RépondreSupprimerNe cédons point, cher ami, au racisme anti-entreprises rappelant les heures les plus sombres de notre histoire...
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RépondreSupprimerElle aurait pourtant eu sa place sur la porte d'entrée de la maison Périglioni qui, je vous le rappelle, fait une petite promotion qui s'arrête fin janvier ! ;-)
Assez savoureux.
RépondreSupprimerCela ne vaut point, cependant - du même - ni le CRS poète à ses heures, ni "la patte folle du Calvados", datant de l'époque où le malheureux travaillait avec un certain nazi africain, dont le patronyme ne nous revient pas.
RépondreSupprimerIl semblerait que votre cerveau ait mixé la fausse patte du Calvados avec la patte folle de la réunion de chantier ( à 2'40" ).
Et je tiens d'ailleurs à remercier votre cerveau pour cette petite méprise car j'ai appris ce soir ce que signifiait une fausse patte !
Je m'endormirai moins ignorant grâce à votre commentaire cher Moine bleu ! ;-)
Pardonnez-moi.
RépondreSupprimerLa fatigue, sûrement.