L'utilisation de l'adjectif possessif "mon" dans "mon Dieu" est d'une tendance inquiétante du catholicisme. Se dérive-t-il dans une forme de communautarisme religieux ? N'est-il plus universel, n'y a-t-il pas qu'un seul Dieu représenté par la Sainte Trinité ? Autrement dit, l’Église devient-elle postmoderne ? Tout fout le camp décidément !
Vous nous rejouez la bataille de Constantinople entre Bleus et Verts, chère nonne ? Rassurez-vous, une tendance à l'hérétisme nous apparie, sans l'ombre d'un doute.
troi dat oi ! Vui quá vui !
RépondreSupprimerelly
N'est-ce pas ?
SupprimerLorsque le croyant chante sa joie, on a immédiatement la sensation de vivre l'enfer.
RépondreSupprimerOreilles bleues.
Vous devez dire ça pour cause d'aigreur et de passion triste. Car, en conditions normales, il est impossible de résister à un tel déferlement d'amour.
RépondreSupprimerHouba m'en préserve, Dieu merci.
SupprimerEt s'il ne vient pas nous serons sauvés.
L'utilisation de l'adjectif possessif "mon" dans "mon Dieu" est d'une tendance inquiétante du catholicisme. Se dérive-t-il dans une forme de communautarisme religieux ? N'est-il plus universel, n'y a-t-il pas qu'un seul Dieu représenté par la Sainte Trinité ? Autrement dit, l’Église devient-elle postmoderne ? Tout fout le camp décidément !
RépondreSupprimerVous nous rejouez la bataille de Constantinople entre Bleus et Verts, chère nonne ? Rassurez-vous, une tendance à l'hérétisme nous apparie, sans l'ombre d'un doute.
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