[L’une des victimes de Jacques Rollet] « avait les cuisses, la nature, tout le gros du corps, et la moitié de la face mangée, et la chair qui était à l’endroit paraissait évidemment être hachée et découpée avec des dents ou des ongles de bête, et ledit Rollet avait la face et le dedans des mains toutes sanglantes » (Pierre de Lancre, L’incrédulité et mescréance du sortilège, 1622).
Condamné à mort en Touraine, soupçonné de moult massacres d’adolescents, le vagabond et marginal Rollet – prétendu loup-garou – fut reconnu fou en 1598 par le Parlement de Paris, après qu’il eut précisé, en fait d’aveux circonstanciés, « qu’il avait mangé des charrettes ferrées, des moulins à vent, des avocats, procureurs et sergents, disant que cette dernière viande était tellement dure et assaisonnée qu’il n’avait pu la digérer. » (ibid.)
Condamné à mort en Touraine, soupçonné de moult massacres d’adolescents, le vagabond et marginal Rollet – prétendu loup-garou – fut reconnu fou en 1598 par le Parlement de Paris, après qu’il eut précisé, en fait d’aveux circonstanciés, « qu’il avait mangé des charrettes ferrées, des moulins à vent, des avocats, procureurs et sergents, disant que cette dernière viande était tellement dure et assaisonnée qu’il n’avait pu la digérer. » (ibid.)
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RépondreSupprimerComme quoi on peut toujours avoir confiance dans la justice de son pays.
RépondreSupprimerQuant à la chanson qui va avec, ça ressemble aux Meteors mais j'ai comme un doute, là.
Bien à vous
Yes indeed, dear Jules : "Wolfjob".
RépondreSupprimerJacques Rollet, sans préjugés :
Les sergots seront mangés.
On crut qu'c'était qu'un taré
Mais l'était just' déterminé,...
etc