mardi 15 mars 2016

Singe en hiver


Vous ne pleurez pas ? Étrange.
C'est que, pourtant, tout est là.
Et puis, allez ! un peu ICI aussi, tant qu'on y est, à causer de singe.
En hiver.

4 commentaires:

  1. Oh non pas Bégaudeau. Pitié pour les singes.

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  2. Vos préjugés sont fondés. Le truc, voyez-vous, c'est que vous ne le savez point.
    Vous ignorez par principe, pour ne vous être point plongé dans cet échange, que lesdits préjugés y conservent toute leur place, ouvrent d'abord - assez fièrement, d'ailleurs - le bouquin en question, ne s'en laissent, là, jamais conter par rien, s'y trouvent, enfin, pour peu que vous épousassiez quelques de nos vues de base philosophiques, entièrement vérifiés à la sortie.
    Mais il y a le refus abstrait - le vôtre - et puis, d'un autre côté, l'expérience concrète, le travail, de la lecture : un travail élevant, dépassant, honorant le préjugé tout en le conservant (le préjugé gagnant alors le statut, plus honorable, certes, d'intuition malicieuse).
    On vous demande donc, en somme, uniquement de nous faire confiance, sur ce coup-là.
    Lisez la chose, surtout si vous êtes ou avez été punk, ne serait-ce qu'une minute de votre vie.
    Oubliez un peu l'interviewé. Concentrez-vous sur l'interviouveur.
    Tout est là.

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  3. OK, je vais vous faire confiance.

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  4. Bégaudeau : "Franck Black (que je considère comme un grand chanteur-guitariste punk)". Là, respect. (Même si c'est Frank - et non Franck - Black.)

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