mardi 17 février 2015

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«Je suis l'Esprit qui toujours nie !»
(Goethe, Faust I)

3 commentaires:

  1. Encore une référence à ce grand classique où l’on souhaite voir un jars dîner, vous l'appréciez décidément, cher Moine.

    « Et toutes les fois que les hommes de science, sortant de leur monde abstrait, se mêlent de création vivante dans le monde réel, tout ce qu’ils proposent ou tout ce qu’ils créent, est pauvre, ridiculement abstrait, privé de sang et de vie, mort-né, pareil à l’homunculus créé par Wagner, le disciple pédant de l’immortel docteur Faust. »

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    1. ... Et Bakounine de préciser dans la même phrase, mon cher Wrob, qu'il ne parle pas là de l'autre Wagner ("le musicien de l'avenir"), lequel fut par ailleurs son pote vers la fin tumultueuse des années 1840, du côté de la Saxe insurgée !

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  2. Bravo cher Moine ! C'est bien notre camarade vitamine barbu auteur de catéchisme qui a écrit ça. Mais je dois avoir une mauvaise traduction (je ne sais pas dans quelle langue il a écrit Dieu et l'Etat), ou une version abrégée, car je n'ai pas cette suite, damned ! Oui, Bakou et Waggy étaient potes et aimaient papoter sur les barricades de Dresde, bien avant que cette ville soit devenue la capitale de PEGIDA. Autres temps, autres moeurs...

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