Comme disait Debord en 1965 : « Il n’y a pas de plus grande force idéologique contre-révolutionnaire que le christianisme sous toutes ses formes, si ce n’est l’islam ! »
Au moins, on peut foutre des taloches aux chiards qui font chier. Les mains au cul des curetons sont lavées dans les bénitiers. Et la bouffe, ça console, des fois. Tandis que la rue et le trottoir, ça a toujours été plein de dangers.
C'est vrai que si on peut plus violer tranquille une salope dans un bus, tout en profitant d'un concert de metal et d'un bon coca bien frais que bobonne aura auparavant extrait du frigo, où va-t-on, je vous le demande ? - Vers la "féminisation", sans doute.
Je suis désolé, Ô Vénéré, je n'ai pas pu visionner cette petite causerie jusqu'au bout, j'étais trop ému. Rassurez-moi, personne n'a fait de mal à monsieur Soral dans les transports en commun, oserai-je espérer ?
C'est bien pour ça qu'il explique à ses sœurs que le mâle est partout sauf dans leur cuisine. Par contre, j'ai pas bien compris pourquoi là Sade a qu'à leur mettre quelque chose dans la bouche pour empêcher les Juifs d'y glisser de la laitue propre. Ça doit être de la tambouille à Dieu, comme l'agneau pas dans le lait de sa mère. Celui-là, pas étonnant que les hommes à son image aient rien à foutre dans une cuisine, même pour la recette du quatre-quarts je m'y fierais pas.
Il est vrai que c'est subtilement amené, cette histoire, vous avez remarqué : " C'est quoi, déjà, ce nom ? Rockefeller ? ... Rotschild, c'est ça ?" Un gros malin, pour sûr. Et qui s'y connaît en stimuli imparablement efficaces.
Au Marquis, rassurez-vous : aux dernières nouvelles, pas de mal pour M. Soral, à qui l'on doit désormais - plus souvent qu'à son tour - céder sa place assise dans le métro, eu égard à son grand âge. Et cela en dépit de son extrême virilité, certainement persistante : c'est dans les gênes (suisses).
Il faut les comprendre, avec « Tout ça c'est un coup (griffu) des Juifs », ils sont un peu au taquet de leur critique du capitalisme. C'est pour ça que (femme < homme < patron) = bien mais ((femme = homme) < patron) = mal. Ou quand patriarcat rime avec capitalisme à la (barbe à) papa.
Mahomet fit une belle carrière de gigolo par son mariage avec Khadidja, plus riche et puissante caravanière de La Mecque et sa patronne. À 50 ans, il se maria une douzaine de fois, veuf mais chef.
Soral se fit initialement connaître par sa "Sociologie du dragueur" où il expose ses 700 cent triomphes à la face du monde.
Et n'oubliez pas la remarque acerbe et perfide d'Aïcha au prophète sur le point de se remarier, une remarque soigneusement passée sous silence par les semblables de M. Iquioussen, en dépit de leur attachement ordinaire aux textes saints : "Dieu semble prompt à exaucer tes désirs, o toi son messager..."
Je crains que votre remarque, pour pertinente qu'elle soit, se heurte à l'incompréhension de l'irrationalité. Comme toujours en matière religieuse, la logique et la raison ne sont d'aucune utilité. Là où votre distance critique vous permet de comprendre une perfidie, le bigot, lui, ne verra dans la réalisation des désirs évoquée qu'une preuve supplémentaire de l'existence du dieu qui s'est choisi ce messager là.
Trois ans après. Résistible ascension d'Iquioussen, fils. Et c'est un journal de droite qui rapporte à l'occasion d'un bouquin intitulé : Nos élus et l'islam
17-22, une mandature. Paraît que Super-Dupont et Darmanin se demandent où expulser Soral, d'après un article non paru de Valeurs actuelles qui leur propose "vicelardement", l'Italie.
Comme disait Debord en 1965 : « Il n’y a pas de plus grande force idéologique contre-révolutionnaire que le christianisme sous toutes ses formes, si ce n’est l’islam ! »
RépondreSupprimerVous frisez l'islamophobie, tout comme Guy-Ernest en son temps (avec ses potes arabes et kabyles d'Aubervilliers).
SupprimerKinder, Küche, Kirche = sagesse suprême.
RépondreSupprimerAu moins, on peut foutre des taloches aux chiards qui font chier.
Les mains au cul des curetons sont lavées dans les bénitiers.
Et la bouffe, ça console, des fois.
Tandis que la rue et le trottoir, ça a toujours été plein de dangers.
C'est vrai que si on peut plus violer tranquille une salope dans un bus, tout en profitant d'un concert de metal et d'un bon coca bien frais que bobonne aura auparavant extrait du frigo, où va-t-on, je vous le demande ?
Supprimer- Vers la "féminisation", sans doute.
Je suis désolé, Ô Vénéré, je n'ai pas pu visionner cette petite causerie jusqu'au bout, j'étais trop ému. Rassurez-moi, personne n'a fait de mal à monsieur Soral dans les transports en commun, oserai-je espérer ?
SupprimerC'est bien pour ça qu'il explique à ses sœurs que le mâle est partout sauf dans leur cuisine. Par contre, j'ai pas bien compris pourquoi là Sade a qu'à leur mettre quelque chose dans la bouche pour empêcher les Juifs d'y glisser de la laitue propre. Ça doit être de la tambouille à Dieu, comme l'agneau pas dans le lait de sa mère. Celui-là, pas étonnant que les hommes à son image aient rien à foutre dans une cuisine, même pour la recette du quatre-quarts je m'y fierais pas.
SupprimerIl est vrai que c'est subtilement amené, cette histoire, vous avez remarqué : " C'est quoi, déjà, ce nom ? Rockefeller ? ... Rotschild, c'est ça ?"
SupprimerUn gros malin, pour sûr.
Et qui s'y connaît en stimuli imparablement efficaces.
Au Marquis, rassurez-vous : aux dernières nouvelles, pas de mal pour M. Soral, à qui l'on doit désormais - plus souvent qu'à son tour - céder sa place assise dans le métro, eu égard à son grand âge. Et cela en dépit de son extrême virilité, certainement persistante : c'est dans les gênes (suisses).
SupprimerIl faut les comprendre, avec « Tout ça c'est un coup (griffu) des Juifs », ils sont un peu au taquet de leur critique du capitalisme. C'est pour ça que (femme < homme < patron) = bien mais ((femme = homme) < patron) = mal. Ou quand patriarcat rime avec capitalisme à la (barbe à) papa.
SupprimerAh, ça nique Youssen !
RépondreSupprimerMahomet fit une belle carrière de gigolo par son mariage avec Khadidja, plus riche et puissante caravanière de La Mecque et sa patronne. À 50 ans, il se maria une douzaine de fois, veuf mais chef.
Soral se fit initialement connaître par sa "Sociologie du dragueur" où il expose ses 700 cent triomphes à la face du monde.
Un genre de mecs...
Et n'oubliez pas la remarque acerbe et perfide d'Aïcha au prophète sur le point de se remarier, une remarque soigneusement passée sous silence par les semblables de M. Iquioussen, en dépit de leur attachement ordinaire aux textes saints : "Dieu semble prompt à exaucer tes désirs, o toi son messager..."
SupprimerJe crains que votre remarque, pour pertinente qu'elle soit, se heurte à l'incompréhension de l'irrationalité. Comme toujours en matière religieuse, la logique et la raison ne sont d'aucune utilité. Là où votre distance critique vous permet de comprendre une perfidie, le bigot, lui, ne verra dans la réalisation des désirs évoquée qu'une preuve supplémentaire de l'existence du dieu qui s'est choisi ce messager là.
SupprimerJean Meslier, curé.
Vous êtes pessimiste. Nous vaincrons. Ca fait pas un pli.
SupprimerTrois ans après. Résistible ascension d'Iquioussen, fils. Et c'est un journal de droite qui rapporte à l'occasion d'un bouquin intitulé : Nos élus et l'islam
RépondreSupprimerLe temps passe...
Supprimer17-22, une mandature. Paraît que Super-Dupont et Darmanin se demandent où expulser Soral, d'après un article non paru de Valeurs actuelles qui leur propose "vicelardement", l'Italie.
SupprimerLe plus con des Suisses pro-russes...
Supprimer