« Les fumiers et composts de fumier de bovins sont des produits bien pourvus en matières organiques. Grâce au processus de compostage, qui permet une transformation des matières organiques vers des formes plus stables, à quantité d’apport égale, les composts ont un effet plus important sur la teneur en matières organiques du sol. Les fumiers mous seront évacués tous les jours, ou tous les deux jours : ils produisent du purin et doivent donc être stockés sur des plates-formes étanches, avec récupération des jus. »
(Chambre syndicale des améliorants organiques et supports de culture, fiche Fumiers et compost de fumier de bovins, septembre 2012).
De l'inutilité du fumier :
RépondreSupprimerle Bois Raméal Fragmenté suffit au sol après quelques saisons à peine, et moins encore quand celui-ci est moelleux - vigueur du sol forestier et des forêts potagères* -, ce qui évite l'excès de nitrates et autres cochonneries dans les zones humides non aéroportuaires, lesquelles favorisent alors l'épanouissement d'une luxuriante nature.
Décidément, le fumier ne vaut rien. Cessons tout élevage intensif, et tout décollage festif.
Bien des pensées pour vous qui vivez dans ces zones quadrillées en voie d'asphyxie.
* agroforesterie : https://www.youtube.com/watch?v=hFJSiKDaoh4
Vous découvrirez avec un égal bonheur,
je n'en puis douter,
l'existence de fentes
de timidité :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Francis_Hallé#Timidit.C3.A9_des_arbres
Ça alors !
SupprimerOn sait que le coq ne chante jamais aussi bien que les ergots solidement plantés dans un tas de fumier.
RépondreSupprimerVous nous permettrez un dernier caquètement de pur plaisir. Le coq est parfois mesquin, vous savez. Après, c'est fini, promis. Retour à la normale.
RépondreSupprimerSympathiquement féroce
RépondreSupprimerOn fait ce qu'on peut.
RépondreSupprimerSi dieu veut.