« Poutain ! Yé les mains faites pour l'or, et elles sont dans la névrose....»
(le Dr Freud au travail dans son cabinet, Vienne, vers 1910)
« Prends garde, ma princesse ! Quand je viendrai, je t'embrasserai à t'en rendre toute rouge et te gaverai jusqu'à ce que tu deviennes toute dodue. Et si tu te montres indocile, tu verras bien qui de nous deux est le plus fort : la douce petite fille qui ne mange pas suffisamment ou le grand monsieur fougueux qui a de la cocaïne dans le corps. Lors de ma dernière grave crise de dépression, j'ai repris de la coca et une faible dose m'a magnifiquement remonté. Je m'occupe actuellement de rassembler tout ce qui a été écrit sur cette substance magique afin d'écrire un poème à sa gloire.»
(Sigmund Freud à sa fiancée Michelle Pfeiffer, 2 juin 1884).
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