vendredi 21 août 2015

Encore sous le choc (du mois)


Disparition du journaliste Emmanuel Ratier

Le Moine Bleu apprend à l'instant avec stupeur, les pieds dans l'eau et quelque part sous un soleil de plomb, que pour ce qui concerne - en revanche - M. Emmanuel Ratier, animateur de l'émission Le Libre journal de la résistance française (sic) sur l'organe national-maousse Radio-courtoisie, et auteur, notamment (oui, car le mec bossait : ça, de ce côté-là, on peut pas dire) de la lettre bimensuelle intitulée Faits et documents, bref, donc, que pour M. Ratier, résistant français, ce sera désormais Ici-l'ombre ! a perpète. 

M. Ratier semble hélas ! en effet, nous avoir quittés hier au soir, des suites, sans doute, comme on dit ordinairement, d'une longue maladie (mais c'est ça aussi, de refuser de manière un peu bébête de s'entourer de cancérologues juifs compétents, pour de mesquines histoires idéologiques). À moins que la maladie en question n'ait été au contraire plutôt courte, en l'espèce, voire fulgurante ou compulsive, façon Venner. Reconnaissons-le franchement : nous n'en savons guère plus à cette heure. Nous ne sommes pas aussi prompts à dénicher toutes informations valables, quoique occultes, que l'était M. Ratier. Le mystère règne ici comme ailleurs, au reste assez étouffant et trouble, il faut bien l'admettre. Un peu comme cette histoire de onze septembre, vous vous souvenez ? avec ce trou d'entrée singulièrement trop petit sur le Pentagone, et puis, de manière générale, toutes ces étoiles de David répandues extrêmement franc-maçonniquement, en regardant attentivement, sur les billets de un dollar américains, depuis la nuit des temps. Car, soyons raisonnables et sérieux, ne serait-ce qu'une seconde : qui avait réellement intérêt, au fond, à cette disparition soudaine et fort opportune de M. Ratier, résistant français, en ce jour précis du 20 août 2015, tandis que la France entière, occupée (si l'on peut dire), regarde ailleurs comme un seul homme, distraite de se trouver plongée dans sa vacance salariale ? Si ce n'est, évidemment, certains groupes de pression - que nous refuserons, bien entendu, étant donné leur influence considérable, de nommer explicitement ici (par crainte de perdre notre boulot, vous comprenez, ainsi qu'un certain nombre d'avantages symboliques, dont nous entendons conserver une trace timide, un soupçon vague). Bon, quoi qu'il en soit, c'est comme ça. Un ami historique de la bande à Coston vient de passer l'arme à gauche. Cela arrive, après tout. Cela arrivera, certes, de moins en moins, avec le temps qui s'écoule, forcément. Et comment dire ? Du coup, nous, on va peut-être reprendre des nouilles, finalement. 

2 commentaires:

  1. On vous aurait bien copié-collé un gros smiley, comme ils en ont sur FB, ou toute autre icône expressive, pour vous dire notre profonde affection, ô moine bleu, et notre rire gras.

    Mais les commentaires autorisés chez vous ne peuvent être que totalement dégraissés, voire squelettiques.
    Peur qu'on vous colle des photos de chats ? (cf. notre référence aboslue désormais : FB, notre dernière découverte de la démocratie souterraine).

    À part votre carte de Thrace, on aimerait aussi quelques cartes des îles, paradis perdus pour nous (pour des raisons qui nous appartiennent) et paradis gagnés par quelques voyageurs.
    On sait pas, Chos par exemple.

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  2. " L'Europe (comme disait récemment M. Le Gallou, intellectuel gréciste à tête de crabe mou et compagnon de cordée de feu M. Ratier von Hameln) ce n'est pas que Lampedusa ! "
    C'est désormais, également, Kos, en effet.
    A part ça, il n'est jamais de paradis autre que perdu, comme vous le savez, dans les larmes.

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