Le léopard meurt avec ses taches.
M. Jean-luc Mélenchon, lui, selon toute vraisemblance, ne cessera jamais d'être con.
Il faut l'être, en effet, con, pour voir ainsi que lui : matin, midi et soir - comme le premier Alain Soral venu - dans ce brave maréchal Poutine autre chose qu'un fasciste libéral grand-russe à la solde du clergé orthodoxe, obsédé par l'invasion des pédés, des nègres et de la décadence occidentale. Il faut l'être, con, bien con, presque davantage (ce qui n'est pas rien) que Mme Clémentine Autain réclamant l'autre soir à la télévision la même chose que M. Mélenchon, quoique mezzo vocce (elle qui s'exprime tellement mal), savoir : la livraison immédiate par ce pauvre M. Hollande d'un imbécile navire de guerre à la glorieuse armée «antifasciste» du maréchal Poutine, dans le noble but d'éviter, entre autres catastrophes, que «la parole de la France ne se ridiculise à l'international» .
Si la France est ridicule, nous ne le devons pas qu'un peu à M. Mélenchon et Mme Autain, sans oublier toutes celles et ceux qui leur ressemblent et qui, voilà quelques années, imposèrent à leurs ouailles masochistes, autant que malheureuses, d'élire dans l'enthousiasme ce pauvre M. Hollande qu'ils conspuent aujourd'hui, allant jusqu'à déchaîner leurs nervis dans les manifestations (nous y étions) contre toutes les Cassandre gauchistes leur promettant déjà, dans l'élection du susdit Hollande, bientôt président de la Ripoublique, une nouveauté étonnamment nulle vis-à-vis des merveilles de la Sarkozie trépassée.
M. Mélenchon ne sait pas lire, voilà tout.
Il n'a aucune mémoire politique, ce qui revient au même.
Il est sans doute la personnalité la moins digne de confiance de ce pays, aux plans intellectuel et politique.
Son nez de tribun bougon ne peut aujourd'hui s'honorer d'avoir senti - jamais ! - aucun parfum historique, quel qu'il soit, porteur d'intérêt notable. Son combat de nain contre Marine le Pen aura tourné pour lui, comme on le sait, au Waterloo picard. Tour à tour trotskiste, socialiste, stalinisant et patriote va-de-la-gueule, M. Mélenchon fut aussi celui, plus anecdotiquement, qui crut fin de dénoncer, lors de la dernière - lointaine - contre-réforme des retraites, et des (trop rares) manifestations offensives ayant émaillé celle-ci (à l'honneur, d'ailleurs, de ceux qui y participèrent) les policiers déguisés en casseurs sabotant, inévitables, les grands mouvements populaires dont M. Mélenchon n'aime rien tant que rêver de prendre la tête, laquelle n'existe jamais, ni le corps, hélas ! Le bougre fit ainsi la preuve de son ineffable génie machiavélien, biberonné au complotisme de pointe, et à la stratégie de la tension journalistique-citoyenne-solidaire, auxquels seul, désormais, l'intuitionnisme d'un autre cador gauche-de-la-gauche, M. Besancenot, serait en mesure de donner la réplique dignement suffisante. Des flics déguisés en casseurs. Bravo. Ou comment inventer l'eau tiède pour nous resservir aussitôt, en guise de banquet idéel, un plein baquet de puante lavasse militante alter-étatique. Le résultat concret de cela, pour la petite histoire, on s'en souvient peut-être, c'est qu'un certain Ninja (ainsi que le baptisèrent les journaux), authentique anarcho-autonome anonyme ayant osé - devant toutes les caméras de l'univers - briser un soir par saine colère une ignoble vitrine de banque, fit rapidement les frais des épanchements complotistes (médiatiques) de M. Mélenchon. Les flics, échaudés par l'affaire et s'étant mis au travail, se firent ainsi un malin plaisir de déjuger notre Kissinger national, en allant serrer chez lui l'infortuné Ninja, un triste matin, avant de l'expédier en prison pour ses odieux forfaits, durant une année entière. Le gars n'était pas plus flic que vous ou moi, ou que M. Mélenchon, vous comprenez. Mais voilà ! allez expliquer ces subtilités à ce dernier, lui qui récidivait encore récemment, près du barrage socialiste-assassin de Sivens, lorsqu'une poignée de ces mêmes anarcho-autonomes déjà dénoncés par lui autrefois comme des flics déguisés lui ayant balancé dans la gueule quelques inoffensifs litres de yaourts périmés pour prix de leur haine politique à son endroit, M. Mélenchon eut, de contre-rage, envers la meute déchaînée, ces paroles historiques : «c'est l'extrême-droite qui est sous les cagoules» .
Il fallait y penser.
Or, M. Mélenchon ne pense guère, ou mal.
Nous pensons, nous, qu'à l'instar du barrage de Sivens, il convient de tirer désormais la chasse, rapidement, sur les diverses opinions, intuitions ou lubies de M. Mélenchon, que celles-ci s'avèrent, au choix, grand-russes, antifascistes, démocrates, citoyennes-solidaires ou non.
Nous pensons que M. Mélenchon peut bien aller se faire voir là où il le désire, avec sa sixième République, du moment que ce soit ailleurs dans ce monde, au point le plus éloigné de notre propre survivance quotidienne.
Ha ha ! De l'illettrisme et ses conséquences.
RépondreSupprimerSans compter le nouveau dada de M. Merluchon : dénoncer la vision infamante, selon lui, de son "être suprême" M. de Robespierre, dans un jeu vidéo… Un Beria à l'ère cybernétique, c'est moche.
RépondreSupprimerEt concernant Sivens, M. Merluchon s'était fendu, dans son style outragé habituel, d'une missive sur sa page Facebook (qu'il effaça vite, comprenant son ineptie politique) dénonçant en sus des fascistes, des "clochards", des "ivrognes","malodorant(s)et masqué(s)",des "gosse(s) de riches", une "horde arrogante qui s'appropriait le mouvement" et bien sûr, "des gens qui se disent anarchistes" "arrivés la veille du mouvement"… Enfin l'habituelle bouillie stalinienne, derrière le fumet républicain.
Eh t'as la merlue ou quoi ? Si quelques personnes ne s'étaient pas fermement opposées à ce barrage, certes, sans avoir le confort d'une salle de bain, tu barboterais avec tes congénères dans vingt mètres de flotte. Au final, sans doute avalé par un silure crypto-fasciste...
L'épithète est aimable, car à ce niveau, "con"n 'est pas un terme infamant, c'est un diagnostic...
RépondreSupprimerL'outrance n'est pas notre genre, laquelle nous ramènerait immanquablement aux jours les plus sombres de notre histoire.
RépondreSupprimer"Con" est même au contraire le plus beau mot qui soit, sans parler de sa réalité bien sûr, à l'adoration de laquelle je m'adonne tous les soirs. La vue de sa vulve perlée et de ses lèvres charnues, son odeur musquée, son goût légèrement laiteux et ses sécrétions acidulées, tout est si désirable dans le con que c'est vraiment l'insulter que de le comparer à cette couille molle de Mélanchon.
RépondreSupprimerL'abbé (vous savez lequel) qui vous salue bien
Certes, mais cela n'empêche pas que Mélenchon s'écrit avec un e.
RépondreSupprimerCertes, mais même avec un E, il n'en est pas moins une couille molle.
RépondreSupprimerLe moine
Ce blogue est trop petit pour deux moines.
RépondreSupprimersachez-le.
Mélenchon c'est : cris, avec un noeud. En général avec un noeud il y a toujours au moins une couille (molle par définition).
RépondreSupprimer"L'ennemi de mon ennemi est mon ami" ...Poutine s'oppose aux américains, Mélenchon déteste les yankees, donc Poutine devient son poto !
RépondreSupprimerVous préférez Sarko et ses sbires ? Vous inquiétez pas, vous allez être servi bientôt!
RépondreSupprimerFaudrait parler de tout ça avec Rémi Fraisse, grosse tête molle d'électeur de gauche...
RépondreSupprimerMélenchon se sent pousser des ailes de révolutionnaires à 60 ans, après avoir grenouillé pendait plus de 20 ans dans les arcanes du PS. Il est fasciné par le pouvoir autoritaire des Chavez, Poutine et autres chinoiseries.
RépondreSupprimerOn a le droit d'être révolutionnaire, ou même de se laisser pousser des ailes, à l'âge qu'on veut : voyez celles de la Victoire de Samothrace, par exemple, bien plus âgée que M. Mélenchon. Le problème, relativement à ce dernier, nous semble se situer ailleurs au plan anatomique.
RépondreSupprimerL'ennemi de mes ennemis sont mes amis ...
RépondreSupprimerA UNE EPOQUE LES FRANÇAIS ETAIT DES VEAUX…EN 68..LES FRANÇAIS ETAIT DEVENUE DE SUPER MOUTONS…EN 2017…LES FRANÇAIS SONT DEVENUE DE VRAIS ESCLAVES ZOMBIES DE TOUS SES POLITIQUES MAFIEUX POURRIES DROITE GAUCHE QUI NOUS DEGOUTE.??NOUS..NOUS NE VOTONS PLUS DEPUIS PLUS DE 55.ANS.?SURTOUT POUR TOUS SES MAFIEUX POURRIES DE CHIOTTES GAUCHE DROITE…QUI NOUS DEGOUTE..?
SupprimerQuand vous ferez moins de fautes d'orthographes, on pourra vous prendre un peu plus au sérieux !!
SupprimerJE TEMMERDE PAUVRES DEBILE..TU FERAS COMME TES PARENT VOTER TOUTE TA VIE POUR SUBIR TOUS SES POLITIQUES DE CHIOTTE DROITE GAUCHE..?POUR AVOIR APRES UNE RETRAITE DE MERDE COMME TES PARENTS.?JAI 99.ANS ET JE TEMMERDE..DEBILE.?VOTER NA JAMAIS CHANGER LA VIE DES GENS..VOTER NA JAMAIS RIEN RAPPORTER AUX GENS COMME TOI..?ET TOUS LES AUTRES ZOMBIES.?
SupprimerCe crétin de 99 ans est une vrai tête de con !
RépondreSupprimerpas pris une ride : le texte je veux dire !
RépondreSupprimerRien de plus à dire… Mélanchon est un con...J'espère qu'Il a ouvert les yeux à ses serfs, cet homme est con et dangereux pour la REPUBLIQUE.
RépondreSupprimerDangereux pour la quoi ?
RépondreSupprimerPour le rez-public, le niveau le plus bas de ce qu'on peut avoir en commun. Émouvant profaillon, qui pensait que les flics étaient des CPE. Il devrait faire gaffe avant de trop montrer les dents.
SupprimerSamedi 12 juin 2021 France
RépondreSupprimerSalut !
Mélenchon a reçu de la farine au visage dans la manif contre le RN.
Mélenchon est maudit.
Melanchon est un con , ça c’était une évidence mais par son soutien à poutine que c’est un con dangereux, la République ce n’est pas lui et encore moins la démocratie
RépondreSupprimerNi Mélenchon, ni Macron.
SupprimerDeux merdes.
Askip, les tchétchènes de Kadyrov sont en Ukraine aussi, aux ordres de Poutine. Comme ça, Autain-Méluche deux fois plus contents ! djihad + poutinisme = équation idéale ! l'en faut peu pour être heureux en mode altermondialiste !
RépondreSupprimerEn effet. On vous renvoie, là-dessus, à notre article pas si lointain : Du bon usage impérial de l'islamisme. Merveille des synergies totalitaires...
Supprimer