Vous plaisantez cher ami, j'ai plusieurs disques d'Ahmad Jamal, je suis tranquille de ce côté là. Non, il se trouve simplement que je tourne de toute évidence pour le moins vieux libidineux (quand on est jeune on est un rude lapin). Une jeune femme trop dévêtue, une tenue trop suggestive (ah ! ces modes nouvelles !), et me voilà tout suffocant, mon pouls s'accélère, une sudation inappropriée s'empare de moi, et soudain le Malin m'habite. Ah ! Qu'elles ne viennent pas se plaindre ensuite !...
Rassurez-vous, toutes les modes passent, des plus sévères aux plus obscènes. Le hic, bien sûr, est de se retrouver au mauvais endroit au mauvais moment - ou au coeur de la mauvaise séquence historique - avant d'aller bouffer gaiement les pissenlits par la racine.
Alors un peu de musique pour illustrer la chose…
RépondreSupprimerCe qui fait du bien, George, en cette sinistre période d'inflation généralisée : Oh, que la hausse nous mine...
RépondreSupprimerLa nudité de ces mains, quelle indécence. Quelle provocation. Quelle tentation. Vade retro ! Excusez-moi, je dois sortir...
RépondreSupprimerTout cela frise l'islamophobie aiguë, mon cher.
RépondreSupprimerPrenez garde : la gôche de la gôche vous surveille.
Vous plaisantez cher ami, j'ai plusieurs disques d'Ahmad Jamal, je suis tranquille de ce côté là. Non, il se trouve simplement que je tourne de toute évidence pour le moins vieux libidineux (quand on est jeune on est un rude lapin). Une jeune femme trop dévêtue, une tenue trop suggestive (ah ! ces modes nouvelles !), et me voilà tout suffocant, mon pouls s'accélère, une sudation inappropriée s'empare de moi, et soudain le Malin m'habite. Ah ! Qu'elles ne viennent pas se plaindre ensuite !...
RépondreSupprimerRassurez-vous, toutes les modes passent, des plus sévères aux plus obscènes.
RépondreSupprimerLe hic, bien sûr, est de se retrouver au mauvais endroit au mauvais moment - ou au coeur de la mauvaise séquence historique - avant d'aller bouffer gaiement les pissenlits par la racine.