« Ces personnes étaient si
belles, leurs traits si gracieux, et l’éclat de leur âme transparaissait si
vivement à travers leurs formes délicates, qu’elles inspiraient toutes une
sorte d’amour sans préférence et sans désir, résumant tous les enivrements des
passions vagues de la jeunesse. »
Gérard de Nerval, Aurélia.
De porteurs de valises, à...
RépondreSupprimerSoyez pas jaloux, DJM de Cambrai.
RépondreSupprimerQue leur valise soit plus grosse que la vôtre ne saurait constituer un problème.
Jaloux de leur bonheur, j'en ajoute une malle :
RépondreSupprimerBen, c’est François qui a raison,
Ceux qui n’ont pas d’argent, ils n’ont qu’à s’arranger,
Ou pour en avoir, ou pour s’en passer.
Mais pas pour emmerder les autres,
Qu’est-ce que ça veut dire !
S’adapter, ça signifie quoi ?
Çà signifie vivre avec son temps,
Savoir bouger avec la société ; comme François.
Naturellement une seule devise :
Pour changer de vie, changer la vie.
Hein !
Ah, autrefois c’était autre chose,
Fallait pas rire avec le progrès social,
Sinon il se fâchait.
(...)
In, « Vincent, François, Paul... et les autres », Claude Sautet, 1974.
François, Julie, Ségolène, Valérie.... et les autres "sans-dents".
RépondreSupprimer