Je n'ai pas lu cet inédit de Hunter S. Thompson et je prise beaucoup les éditions L'Échappée. Mais qui ne comprend pas pourquoi Althusser défendait vigoureusement — et à juste titre, selon moi — l'anti-humanisme théorique de Marx ne comprend rien à Marx, ni à son époque, ni à ce pauvre Althusser dont Mordicus nous rappelait jadis que son épouse Hélène justifia tragiquement le patronyme en prononçant ses derniers mots alors qu'il l'étranglait ("Halte ! Tu serres…")
(Soit dit en passant, très joli tir doublé, cher Moine ! À quand les éditions Moi, à défaut de Saa Moi ?)
Cher G.W.F.W., Je me permets de vous corriger sur un point, essentiel me semble-t-il : ce n'est pas le fanzine Mordicus ( inspiré par un certain S. Quatrepains ) qui fit connaître le dernier mot de la malheureuse Hélène mais un certain Monsieur Jean-Pierre Voyer, théoricien de la publicité chez Prisunic pour le compte d'un certain Lebovinci.
Désolé, cher Monsieur G. (si je ne m'abuse), je n'ai pas eu l'heur d'être introduit à cette science-là. Mais cela ne m'étonne guère, à la réflexion, de l'Oberdadasturmführer…
On dira donc que les événements se répètent pour ainsi dire deux fois : la première fois comme tragédie, la seconde fois comme farce (tiens, je suis bien content de l'avoir inventée, celle-là !)
Je n'ai pas lu cet inédit de Hunter S. Thompson et je prise beaucoup les éditions L'Échappée.
RépondreSupprimerMais qui ne comprend pas pourquoi Althusser défendait vigoureusement — et à juste titre, selon moi — l'anti-humanisme théorique de Marx ne comprend rien à Marx, ni à son époque, ni à ce pauvre Althusser dont Mordicus nous rappelait jadis que son épouse Hélène justifia tragiquement le patronyme en prononçant ses derniers mots alors qu'il l'étranglait ("Halte ! Tu serres…")
(Soit dit en passant, très joli tir doublé, cher Moine ! À quand les éditions Moi, à défaut de Saa Moi ?)
Cher G.W.F.W., Je me permets de vous corriger sur un point, essentiel me semble-t-il : ce n'est pas le fanzine Mordicus ( inspiré par un certain S. Quatrepains ) qui fit connaître le dernier mot de la malheureuse Hélène mais un certain Monsieur Jean-Pierre Voyer, théoricien de la publicité chez Prisunic pour le compte d'un certain Lebovinci.
RépondreSupprimerDésolé, cher Monsieur G. (si je ne m'abuse), je n'ai pas eu l'heur d'être introduit à cette science-là.
RépondreSupprimerMais cela ne m'étonne guère, à la réflexion, de l'Oberdadasturmführer…
On dira donc que les événements se répètent pour ainsi dire deux fois : la première fois comme tragédie, la seconde fois comme farce (tiens, je suis bien content de l'avoir inventée, celle-là !)