« Tenez, à parler franchement, j'aime mieux passer un an ou deux à vivre ainsi dans les hauts, sans rencontrer ni gouvernement, ni douanier, ni garde-champêtre, ni procureur du roi, que de croupir cent ans dans votre marécage.»
Balzac, Le médecin de campagne
Bien dit, Honoré. J'ajouterais: laissez à chacun le soin de choisir son marécage, nom de dieu !
RépondreSupprimerLes chèvres de l'Orée sont vos oreilles, très cher Moine.
Apprenez, cher Marquis, que chaque âge saccage son marécage.
SupprimerContent de vous lire, je vous croyais dans la vacance.