vendredi 21 septembre 2012

A parler franchement

 
« Tenez, à parler franchement, j'aime mieux passer un an ou deux à vivre ainsi dans les hauts, sans rencontrer ni gouvernement, ni douanier, ni garde-champêtre, ni procureur du roi, que de croupir cent ans dans votre marécage.»

Balzac, Le médecin de campagne

2 commentaires:

  1. Bien dit, Honoré. J'ajouterais: laissez à chacun le soin de choisir son marécage, nom de dieu !

    Les chèvres de l'Orée sont vos oreilles, très cher Moine.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Apprenez, cher Marquis, que chaque âge saccage son marécage.
      Content de vous lire, je vous croyais dans la vacance.

      Supprimer